La gastronomie de fiction dans les œuvres populaires
(troisième partie)
Au menu de cette partie, où il sera régulièrement question d’œufs : Holmes et Poirot, le paprika de l’inspecteur Lavardin, Difool et Nikopol, pour finir sur l’inévitable Twinkie
Sherlock Holmes et Hercule Poirot : la garniture aromatique
Sherlock Holmes soignant ses abeilles et Hercule Poirot s’apprêtant à maltraiter son foie dans les versions télévisuelles les plus appréciées des amateurs
(crédits photographiques : Brandon Vaughan, Agatha Christie Ltd.)
Le Grand Détective comparé à son collègue belge est moins connu pour ses tics gastronomiques que pour ses autres manies, en particulier son addiction à l’héroïne qui joue sûrement sur son appétit, et son inclination pour le tabac qui lui évite de perdre de l’énergie dans la digestion, alors qu’il finira par produire du miel car il devient apiculteur une fois retraité. Il n’a pas l’estomac fragile comme Hercule Poirot, ni la silhouette enrobée que prêtent à ce dernier les adaptations cinématographiques ou télévisuelles, et il n’a pas non plus un caractère aussi voluptueux ou aussi mondain, ce qui explique qu’il soit porté sur le thé ou le café plutôt que sur le chocolat chaud ou la tisane, et qu’il apprécie le Tokay quand son double christien préfèrera un cocktail. Les deux n’ont pas le même rapport au temps, car l’un mange parfois des sandwiches quand l’autre n’y est confronté dans l’affaire Carlisle que pour déterminer s’ils ont été empoisonnés, et leurs manières d’agir s’opposent jusque dans les digestifs et la dichotomie alcool-liqueur, car l’un n’hésite pas à recourir au Cognac quand l’autre apprécie les crèmes de fruit, mais les deux vivent dans un contexte où il est possible de se faire servir un repas à domicile, comme le prouvent le cas Foscatini ou les petits déjeuners de la logeuse Mrs Hudson, qui va jusqu’à préparer un bœuf froid dans l’affaire Adler alors que le valet George se contente de servir à boire aux invités de Poirot. Ainsi, le Grand Détective estime que la nourriture est au pire étrangère et au mieux gênante, de même que sa santé car il est prêt à jeuner pour jouer un rôle, alors que son collègue belge considère que manger est une « recherche intellectuelle », et classe d’ailleurs le poisson en conserve parmi les causes possibles des morts prétendument mystérieuses.
L’oie de l’escarboucle telle qu’elle est donnée à voir au pub Sherlock Holmes de Charing Cross, et la boîte de chocolats du cas Déroulard, où il est rappelé qu’un mauvais fourrage est toujours la preuve d’un crime
(crédits photographiques : Lia, Jean Upton/The fourth Garrideb)
La fameuse oie de L’aventure de l’escarboucle bleue est le symbole de la nourriture d’enquête, dans un univers holmésien où la volaille est d’ailleurs surreprésentée par rapport aux autres viandes, mais l’équivalent pour Poirot n’est pas la célèbre « Mort Exquise » au chocolat du cas Blacklock, puisque ce dernier est traité par Miss Marple et l’inspecteur Dermot Craddock. Ce n’est pas moins la disparition d’une cuisinière qui déclenche l’affaire Todd, ou les habitudes alimentaires d’un personnage central qui justifie jusqu’au dénouement du Mort avait les dents blanches, alors qu’un pudding cachant un rubis est au cœur du cas Lacey. Et ce sont des pépins d’orange qui dirigent Sherlock Holmes vers le Ku Klux Klan dans l’affaire Openshaw, comme c’est le rhum qui le mène au coupable dans Peter le noir, les gants de celui qui livre les repas dans le cas Emsworth ou le changement de régime d’un personnage dans L’aventure du pince-nez en or. Mais si le cocktail ou le Champagne servent à l’occasion d’armes du crime chez Poirot, de même que des huîtres et un gâteau de mariage ou un marteau à sucre, il est clair que la boîte de chocolats du cas Déroulard est le pendant négatif de l’oie holmésienne, car cette boîte fatale est l’élément central d’une enquête ratée alors que le chocolat n’apparaît pas chez Holmes, si ce n’est sous sa forme liquide et à une seule occasion.
Les œufs ont cette habitude pénible d’être soit mal cuits soit mal calibrés
(crédits photographiques : Granada Television Ltd., Vincent Paquin)
La table est un art qui a ses règles et ses accessoires, lesquels peuvent tout aussi bien servir d’outils de déduction, comme le prouve Holmes avec la cuisson des œufs dans L’aventure du pont de Thor, et comme il le confirme par le contre-exemple de la cafetière dans l’affaire Baskerville. Poirot fait de même avec le dépôt du vin dans l’adaptation pour Peter Ustinov de Mort sur le Nil et exploite en outre les espaces dédiés à la gastronomie, comme la cuisine dans le cas Robinson ou le wagon-restaurant dans l’affaire Armstrong, en allant par ailleurs jusqu’au débat sur les avantages comparés des gastronomies française et anglo-saxonne, lorsqu’il oppose à son arrivée à St. Mary Meade la pâte à tartiner Marmite au foie gras. Il s’intéresse en outre à la forme des œufs, même si cela sert surtout à souligner l’idée qu’il se fait de l’harmonie des choses et que c’est aussi valable pour les « crumpets », quand le Grand Détective s’intéresse à la consistance du beurre, même s’il est difficile de deviner ce que cela lui a permis de déduire dans le cas Albernetty à moins de se référer au pastiche inédit en France The strange death of Mrs. Abernetty, où le beurre empoisonné diffère du beurre sain car il est plus dur pour avoir été sorti plus tard. Les « gastronymes » sont cependant moins précis chez Holmes que chez Poirot, où il s’agit de connaître la soupe julienne aussi bien que la crème du Devonshire, et où l’on ne va pas au Cheshire Cheese sans y déguster le pudding au bœuf et aux rognons ni au Cerf sans y subir la Soupe Windsor suivie d’un steak pané avec pommes de terre, alors que l’on va chez Goldini dîner pour ne mentionner que le café et le curaçao.
Il n’est de bon hôtel sans bonne compagnie, comme le prouvent Holmes au Northumberland Hotel dans la version de la Hammer, et Poirot au El Ranchero en compagnie de Hastings et Japp
(crédits photographiques : Hammer Films, LWT)
La géographie gastronomique du Grand Détective et du Petit traduit le paradoxe des habitudes et des besoins, tout en ayant une fonction d’ambiance alors qu’elle repose souvent sur des généralités ou des facilités, comme cet Orient-Express dont la nourriture est à peine décrite mais qualifiée d’« inhabituellement bonne », quand l’adaptation de Kenneth Branagh donne à voir des ballotins de Godiva et des bouteilles de Veuve Clicquot, ou ce Chequers dont le porto est jugé « au-dessus de la médiocrité », et ramène à ces adresses dont l’utilité se résume à fournir de l’alcool au moment opportun. Aucun des deux détectives n’a son rond de serviette chez un restaurateur précis, même si le Simpson apparaît dans deux affaires holmésiennes, et que le capitaine Arthur Hastings possède le El Ranchero dans l’adaptation pour David Suchet de Meurtre au soleil. Les lieux de restauration ne sont donc pas nécessairement des restaurants mais régulièrement des « spatial frames », comme le Northumberland Hotel où sir Henry Baskerville est descendu et l’hôtel égyptien Cataract où Poirot assiste aux prémices d’un coup monté, sans parler des cercles privés comme le salon du major Rich où le buffet dînatoire est « toujours excellent » dans le cas Clayton, alors que le Club Diogène n’a pas pour but de socialiser ses membres ni de les nourrir. Ils s’associent aux commerces agroalimentaires qui ancrent plus encore le récit dans une réalité vérifiable, mais les producteurs citadins chez Holmes n’ont pas leur équivalent chez Poirot hormis quelques fermes, étant donné que les époques ne sont pas les mêmes ni les choix car cela vaut aussi pour les marchands de thé ou de vin, et c’est peut-être en manière de compensation que le Petit Détective aura été honoré d’une anthologie conçue comme un repas avec Christmas pudding.
Le Simpson n’a pas besoin de parier sur Holmes pour se vendre comme Godiva sur Poirot
(crédits photographiques : Scott Monty, Roularta Media Group)
« Ces petites bêtes »…
…supposent de se pencher sur le sujet par trop méprisé de la cuisson
(crédit photographique : MK2 Productions/MK2 S.A.)
Le « poulet au vinaigre » se sert avec des œufs au paprika, du moins chez Dominique Roulet et Claude Chabrol, qui ont fait de leur inspecteur Lavardin un amateur d’œufs au plat, en partant d’un roman qui posait déjà des bases claires en jouant de la forme-liste : « Lavardin, il n’aime que les œufs. Alors là, son imagination n’a pas de limite : à la coque, au plat, cocotte, en omelette, au jambon, pochés, en meurette, durs mayonnaise, frits en sauce, miroir, bénédictine, au paprika, Chimay, à l’ardennaise, à la royale, au lait, vert-pré, enfin, il jure qu’il pourrait se nourrir uniquement de ce produit de volaille et que les jours seraient tous différents. » Les œufs des films ne sont pas cuits dans le plat adéquat, qui se distingue de la poêle par ses oreilles, mais leur cuisson y est présentée comme délicate, plus précisément « à la seconde près » pour éviter qu’ils soient « secs sur les bords. » Jean Lavardin n’hésite pas à sortir sa carte pour obliger un barman à les retirer du feu, mais n’explique pas réellement l’usage du paprika car il se contente de déclarer « parce que ça, c’est bon avec du paprika », alors que ce sont les œufs mimosa qu’on peut éventuellement saupoudrer de piment doux. Son point de vue est cependant développé dans la brève série qui a suivi les films et qui porte le nom de « dossiers », lesquels lui fournissent l’occasion de préciser qu’il faut cuire à feu doux et surveiller le blanc, mais aussi qu’il faut éviter de toucher ce dernier avec du métal et servir « dans les quinze secondes suivant l’interruption de la cuisson. » Quoi qu’il en soit, son intérêt pour les œufs au paprika renvoie notamment au « deviled egg » du succès country Livingston Saturday night, et la façon dont est défini cet intérêt, quasi maniaque et plutôt matinal, aux œufs brouillés de l’espion Harry Palmer, qui est aussi décalé que Lavardin dans son rapport à l’archétype de référence, et dont les mains dans l’adaptation cinématographique d’Ipcress, danger immédiat ne sont pas celles de son interprète au moment de casser les œufs, mais de son créateur car il avait une réputation sans tache en matière de cuisine.
John Difool et Alcide Nikopol : le fricot des anti-héros
Whisky du futur ou Cognac du passé, cela revient peut-être à hésiter entre bière extra-forte et bière tout court
(crédits photographiques : Les humanoïdes associés, Dargaud)
La rupture entre passé et présent, qui est posée dans la trilogie Nikopol à travers entre autres le « vieux Cognac », a peut-être pour équivalent la rupture entre classes sociales dans le premier cycle de L’Incal, où il est clair que les Aristos boivent mieux que du pseudo-whisky. Mais si ce procédé est transposé dans l’adaptation cinématographique Immortel (ad vitam) avec le Cognac, quand il est cité en premier parmi les boissons proposées par Alcide Nikopol à Jill Bioskop, il est difficile d’être précis au sujet des alcools dans l’univers de John Difool, parce que le whisky n’est pas toujours désigné sous le même nom, mais surtout parce que le personnage central ne boit quasiment que cela : du « faux bourbon » au « wiski » en passant par le « ouiski », il s’agit surtout de souligner un tropisme et de construire une circularité. Il s’agit aussi d’un pont jeté vers l’univers des détectives privés et des romans noirs, alors que le vin dans la trilogie fait le lien avec celui des restaurants et des palaces, d’autant que le MauerPalast et l’Equateur KKDZO Palace ne sont pas seulement cités, et qu’une bouteille est l’objet d’une dégustation menant jusqu’à qualifier le breuvage de bouchonné. Cette idée de luxe maintenu ou réservé est aussi illustrée par la boisson que le Président offre à Difool dans un verre Collins, le Champagne de La femme piège ou le cocktail servi à Jill et Nikopol près d’une piscine dont l’eau a été perdue alors que cette habitude-là a été conservée.
Le soufflé aux libellules sera peut-être en vente chez Harrods, étant donné ce que l’on sait de la gastronomie britannique et ce que l’on imagine qu’elle deviendra
(crédits photographiques : Les humanoïdes associés, Dargaud)
Les traces du passé hormis les alcools sont nettement moins nombreuses dans le cycle que dans la trilogie, dont le lien avec le présent est renforcé par l’utilisation du Script-Walker, et où café comme thé sont toujours consommés alors qu’un sandwich au pain de mie et quelques cannettes apparaissent chez Difool, pour qui le Cocalfol aura bien plus d’importance dans le cycle Avant l’Incal. Les marqueurs d’inventivité sont présents dans des proportions inverses, et le soufflé de libellule ou les yoghourts aphrodisiaques n’ont pas d’équivalents chez Nikopol, même si les excès climatiques ont des conséquences sur les habitudes culinaires, étant donné que le meilleur restaurant équatorien est censé être celui où l’on mange froid. Quant à l’anthropophagie, elle est à peine abordée, si ce n’est à travers les Bergs car ils font un festin des perdants de leur course à la Proto-Reine, et à travers la jambe de Nikopol car elle est abandonnée aux miséreux qui meurent de faim, ou donnée au Dayak aux allures de requin dans Immortel (ad vitam). Les lieux où se fournir sont les boîtes et les bars dans un cas, étant donné l’inclination de Difool pour ce genre d’endroits, mais des commerces déspécialisés dans l’autre, sachant qu’Harrods existe toujours à Londres et fournit peut-être encore de quoi manger.
Noir ou cassé, un œuf géant procède de ce dérèglement du réel qui a longtemps fait une curiosité de celui d’Autruche
(crédits photographiques : Les humanoïdes associés, Dargaud)
Le traitement des œufs est très particulier dans les deux œuvres, et ne s’explique pas seulement par leur valeur symbolique, ou peut-être moins dans la trilogie que dans le cycle, qui oppose l’œuf énergétique de l’Impéroratriz à l’œuf noir de la Ténèbre ou au psycho-abdomen du Techno-Pape. Difool et ses compagnons n’en mangent pas, mais sa mouette à béton régresse à une occasion et prend alors la forme d’un poulet, tandis que Nikopol vit dans un univers où l’on consomme des œufs géants. Ces derniers sont les œufs de Menkar qui doivent être cuits durs, sans quoi ils éclosent et donnent vie à une créature sanguinaire, mais ils sont assimilables à ceux qui font l’objet de l’Eierkrieg, dans le contexte de laquelle ils sont utilisés comme cibles. Les coquilles elles-mêmes encombrent les rues de Paris ou de Berlin, alors qu’elles sont nettoyées par les mutants marginalisés sur la planète berg, du moins celles qui proviennent des œufs pondus par la Proto-Reine une fois éclos les clones de Difool.
Il n’y a pas que les champignons à pois qui sont à la fois non comestibles et hallucinogènes
(crédit photographique : Les humanoïdes associés)
La sustentation ne s’arrête pas aux conventions habituelles, ni dans un univers ni dans l’autre, car l’Incal lui-même est ingurgité à deux reprises en transmettant à chaque fois une partie de ses propriétés, alors que Nikopol voit sa vie allongée par la réduction progressive de ses besoins, dont celui de manger fait nécessairement partie. Le supermarché est devenu un cimetière dans un cas, la culture du blé doit être retrouvée dans l’autre, car la déperdition des marqueurs du quotidien renforce la distance temporelle dans les deux. Mais aussi originaux que soient les univers du Métabaron et d’Horus, l’attachement atavique au repas sinon gastronomique, du moins classique, est toujours présent, à travers le steak cité ou le goûter détaillé chez Difool, et à travers l’ordonnancement des agapes au restaurant chez Nikopol. La réflexion sur le boire et le manger ne rejoint pas celle qui caractérise le Monde d’Edena, que Moebius utilise pour illustrer l’instinctothérapie au moment même où il travaille sur le cycle de L’Incal, alors qu’elle est complétée dans Immortel (ad vitam), où le fait de consommer du poisson et de la viande crus renforce la singularité du personnage de Jill.
La tête de baudroie est aussi laide que la queue de lotte est goûteuse, mais les deux n’en appartiennent pas moins à la lophie pêcheuse
(crédit photographique :
Téléma/TF1 Films Production/Ciby 2000/RF2K/Force Majeure Productions/Medusa Film)
Le Twinkie ou la « private joke »
Comme le disait la marquise de Sévigné du repas qui causa la mort de Vatel : « on mangea comme si un grand deuil n’était pas inopinément tombé sur la cuisine »
(crédit photographique : Junk Banter)
Le « sacré petit cake » de la version française ou la « fameuse part de gâteau » de la novélisation traduisent tous deux le Twinkie de SOS fantômes pour un public francophone qui pouvait difficilement le connaître, mais qui allait très vite le reconnaître dans Piège de cristal, où le personnage d’Al Powell en achète sous le prétexte que son épouse est enceinte. Cette petite génoise fourrée de crème vanillée, du moins sous sa forme la plus courante, est devenue depuis un véritable marqueur dans le cinéma américain grand public, même si elle est apparue avant dans quelques films dont Grease, et qu’elle a par ailleurs pénétré la pop music avec des titres comme The what. De la simple référence visuelle dans X-Men : Le commencement au ressort comique dans Les folles aventures de Bill et Ted, le Twinkie est surtout présent à l’état de clins d’œil, et les scénaristes s’amusent d’abord de sa durée de conservation, que ce soit dans WALL-E ou Mortal engines et même Ghost Rider 2 : L’esprit de vengeance, où le super-vilain parvient à tout corrompre sauf ça. Bienvenue à Zombieland apparaît dès lors comme une exception, car l’un des personnages centraux a pour motivation principale d’en trouver un, et il n’est pas rare de voir la génoise remplacée par un équivalent, comme les MoonPies dans La ligne verte ou Underwater, alors que la faillite de son fabricant est prise en exemple dans The Predator. Le Twinkie considéré comme dénominateur commun n’en associe pas moins des œuvres très diverses, jusqu’aux séries inédites en France comme All in the family, en créant ainsi un réseau qui déborde la culture populaire tout en restant un signe extérieur de l’American Way of Life, et il en dit davantage sur ce qu’il pourrait être que sur ce qu’il est car il ne contient pas plus de crème que les Oreos ne contiennent de lait, mais il est lié de façon si intime à certaines licences, qu’il a paru tout naturel de lancer des « Key lime slime Twinkies » à la sortie du SOS fantômes de 2016.
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Une troisième partie fouillée avec des références très loin d’être convenues. La dernière séquence qui évoque les Twinkies m’a beaucoup plu. Encore du très haut level, bravo Nicolas.
Merci pour ce beau commentaire ! J’espère que cette partie un peu littéraire ne rebutera pas, sachant que les suivantes seront plus légères.
La Pop Culture a-t-elle une saveur? Elementaire, mon cher Nicolas!! Grâce à toi, je sais qu’elle en a une et sa sapidité est excellente!! Merci pour ce dossier, Nicolas!!
ps: mention spéciale aux parties concernant Holmes et Poirot ainsi que celle consacrée aux Twinkies… Vivement la suite!!
Merci pour ce retour si agréable ! La suite permettra d’explorer la gastronomie chinoise et les « plats cruels », avant d’aborder comme promis le fameux repas du Temple Maudit.