2006, exit Pierce Brosnan et welcome Daniel Craig dans le rôle de James Bond dans l’une des sagas cinématographique les plus populaire qui soit ( je dis l’une car il y a des fans de Star Wars dans la rédac, je vais donc éviter de les froisser). Cependant une question demeure, allait-il se déplacer en trottinette? Non. En batmobile ? Pas du tout. Sur le nuage magique ? Mouais peut-être mais, encore non. Il se déplacera dans l’une des plus belles, des plus enthousiasmante et fantastique voiture que le Royaume-Uni ai fabriqué, l’Aston Martin DBS (et à ce moment précis, j’ai en tête un effrayant mélange de God save the Queen et de You know my name).
Ashton Martine
Le choix de la production s’était porté sur la DBS, sauf qu’elle n’était pas sortie. Ce fut donc une DB9 modifiée en DBS (pas Dragon Ball Super) qui avait été utilisée sur le tournage, et qui a la particularité d’être entrée dans le Guinness Book des records.
Bon en même temps c’était soit ça, soit transformer la belle Eva Green en tapis de souris. À ceci près que la voiture adhère tellement bien à la route, qu’il fut difficile pour l’équipe de cascade de lui faire faire des tonneaux. Après qu’un système de poussoir à vérin pneumatique était installé à bord, la belle anglaise entra dans la légende avec sept tonneaux, un record.
Je s’appelle Bond.
On retrouve donc la DBS du film, à l’échelle 1/18ème sorti par le fabricant Joyride. Et tout de suite ce qui me saute aux yeux, c’est le mauvais alignement du haut de la calandre avec le capot moteur. D’ailleurs une fois qu’il est relevé il laisse apparaitre le joyaux du bel écrin, le V12 de 6 litres de cylindrées aux divines vocalises. Ça reste un peu léger en terme de détails, malgré la plaque d’identification qui mentionnera le nom du technicien qui a assemblé le moteur.
Une fois le capot refermé il nous reste qu’à faire le tour de la carrosserie, et que dire si ce n’est qu’elle est superbe.
Superbe mais pas exempt de tout reproche, tout d’abord la trappe à essence. Elle n’a droit qu’à un vulgaire sticker.
Ensuite la roue. Si la jante est très bien faite, le pneu aurait mérité de voir le nom du fabricant (à savoir que Pirelli avait conçu des pneus spécifiquement pour cette Aston Martin) ainsi que ses dimensions. Le système de freinage dans son ensemble sont monochrome et manquent de détails. Tout le contraire des optiques de phare.
Je continue sur l’arrière, et quel beau fessier!!! Elle reprend bien l’immatriculation de celle du film, et le coffre s’ouvre. Malheureusement 007 n’étant pas allé au Paris Fan Festival, celui-ci s’en retrouve bien vide. Je précise que le diffuseur, même si ça ne se voit pas très bien, reprends bien l’idée du carbone. Alors ce n’est pas du très au niveau, mais au toucher ça fait son effet. C’est un très bon point.
Et pour conclure sur la dernière partie ouvrante, les portières. Lorsqu’elles sont fermées, la partie avant laisse apparaitre un écart qui va gâcher visuellement la voiture, avant de se rattraper. Car une fois ouvertes, la cinématique s’opère et l’arrière va se relever. Exactement comme sur les vraies, et c’est un régal.
On va donc en profiter pour aller voir ce qui se passe à l’intérieur. Coté conducteur les éléments y sont bien présents (volant, pédalier, tableau de bord et levier de vitesse), et le tapis de sol est bien sérigraphié. Coté passager, la boite à gants est identique à celle du film. On y retrouve le pistolet équipé du silencieux et ce qui sera la trouve de premier secours (qu’il utilisera dans la fameuse scène ou James Bond se retrouve empoisonné). J’attire votre attention sur la partie haute de la console centrale, juste au-dessus du logo Aston Martin rouge. Il s’agit du cristal qui sert de clé de contact (la classe), c’est un petit détail que je trouve vraiment très plaisant. Et enfin, à travers le pare-brise on retrouve les deux sièges baquets, et le petit extincteur rouge à l’arrière. Parce que c’est toujours ça de pris que d’avoir des minots qui chialent.
Clap de fin.
Le tournage est terminé, on rempile les caméras et les projecteurs, mais pas sans vous donner mon avis sur cette miniature. Si Joyride a su nous donner une Aston Martin DBS qui colle à celle conduite par Daniel Craig dans Casino Royale, elle contient quelques petits défauts qui peuvent être facilement mis de coté. En tout cas je l’adore, et je crois qu’il en est de même pour le Stig.
Je vous laisse avec ce petit teste effectué par Jeremy Clarkson, qui au passage l’aime beaucoup lui aussi. Et comme je sais qu’il est fan de cette saga, je vais dédicacer cette revue à notre rédacteur en chef Julien.
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FurySanctuary
•7 mois ago
Un bien beau joujou que cette DBS. Pas à dire, tes choix en miniature font toujours mouche mon petit Jay.
Ryuzo
•7 mois ago
Ravi que ça te plaise, et merci d’être toujours aussi participatif Chris 😉🙏.
Blaster
•7 mois ago
Qu’elle est belle, cette Aston Martin.
Ryuzo
•7 mois ago
😍😍😍