Indiana Jones Adventure Series : Review Indiana Jones (Club Obi-Wan)

Ah ! Le Club Obi-Wan !

 

J’ai déjà Anything goes en mandarin qui résonne dans mes oreilles.

Découvrons ensemble la vidéo que j’ai publié récemment pour le déballage de la figurine avant de passer à la revue classique.

 

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La boîte est encore une fois magnifique

Notez que la figurine est alignée en cross sell avec la wave 1 Build-an-Artifact malgré une sortie différée et un assortiment différent.

 

 

Le smoking est sympa. La fig a des épaules papillon.

 

Le visage ressemble plus à une figurine de Han Solo avec les cheveux courts, mais c’est assez logique pour le coup. Je regrette le manque de weathering sur les cheveux pour donner un peu relief à tout ça.

Le col est conçu astucieusement, même si parfois ça manque de finesse.

La version Club Obi-Wan d’Indiana Jones est plutôt gâtée niveau accessoires, même si elle manque de mains alternatives.

La broche de volailles enflammée avec laquelle Indy transperce le fils de Lao Che est assez cool.

 

L’arme est l’épée géante d’une statue à côté du gong qu’Indy utilise pour libérer ce dernier et se protéger du mitraillage à la Thompson d’un des fils de Lao Che.

 

Le plastique fait cheap et le design un peu grossier, mais on retrouve des éléments clés de l’accessoire dans le film.

 

Attardons-nous sur Nurhachi, enfin, je veux dire, sur l’urne funéraire qui contient les cendres du premier empereur de la dynastie mandchoue. J’ai, dans la vidéo que j’ai publié sur Instagram, émis des doutes sur le réalisme de l’accessoire en le comparant à deux sources : l’accessoire Hidden Relic, bonus de 2008 et une photo des archives de Lucasfilm (dans From Star Wars to Indiana Jones, the best of Lucasfilm Archives, Chronicle book, 1995).

 

Et bien en revoyant le film, j’ai comparé avec la prop sous un angle différent et à part le problème de teinte, je crois bien que l’accessoire 2023 est très très accurate.

 

L’urne est bien plus étroite que je ne le croyais probablement du fait du jouet de 2008.

Les deux derniers accessoires sont les plus petits et j’ai peur de les égarer. Le diamant comme la fiole d’antidote sont moulés en plastique translucide. Dans le film la scène pagaille du club quand éclate la bagarre générale est assez typique du cinéma d’action de cette époque. Rien n’est crédible, mais ça marche parfaitement. C’est beau et on se laisse prendre au piège (grossier) de ce ballet de verre teinté et de diamant. Ici l’échelle semble respectée même pour la pierre précieuse. Les détails de peinture sur le tube contenant l’antidote sont appréciables et conformes au film.

 

Pour l’anecdote, Indy ne demande pas n’importe quel caillou en paiement pour l’urne de Nurhachi. Lao Che lui remet (enfin presque) l’Oeil de paon (Peacock’s Eye), l’une des deux pierres de 140 carats qu’Alexandre le Grand aurait choisi en guise d’yeux pour une statue de paon en or.

Blaster
A suivre

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