Interview : Wilfried Fourrez ou le génie du design à la française

 

Nouvelle interview estivale spécialement réalisée pour votre magazine FulguroPop. Aujourd’hui je vous propose de découvrir un talent français en la personne de Wilfried Fourrez. Si vous aimez la licence des Maîtres de l’Univers, la pop culture au sens large du terme, la créativité, alors les réalisations de Will vous séduiront à coup sûr. Place au maître des customs, bonne lecture à tous !

 

 

Bonjour Wilfried, peux-tu te présenter à nos lecteurs en quelques mots ?

Wilfried : Je m’appelle Wilfried Fourrez, j’ai 43 ans, et j’habite à côté de Dijon. J’ai un petit frère, une petite sœur, un papa pompier de Paris à la retraite, et une maman à la retraite également. Je vis avec ma compagne, Marie-Laure, que j’ai rencontrée lorsque l’on était en école d’arts appliqués. Professionnellement, je passe en ce moment par cette phase transitoire qu’on appelle le chômage, j’ai un parcours professionnel assez régulier dans mes choix, mais très chaotique dans le parcours. En ce moment, je suis en train de refaire le point afin de passer des diplômes car je voudrais vraiment être formateur pour adultes.

 

 

Quand et comment as-tu commencé à t’intéresser aux jouets ?

Wilfried : D’aussi loin que je me souvienne, je me suis toujours intéressé aux jouets, et j’ai été souvent influencé comme beaucoup par les jouets à la mode durant mon enfance. Ce qui est le plus bizarre pour pas mal de gens autour de moi, c’est que je continue à m’y intéresser. Ma compagne « désespère » parfois de me voir continuer à acheter des figurines à la volée. Quand je passe dans un magasin ou dans un vide-greniers et que le jouet me plaît, elle me dit « mais tu ne fais pas ça comme collection il me semble ? » (Rires). Mais je pense qu’il y a beaucoup de second degré et qu’elle comprend cette passion. Quand on collectionne, ça peut paraître étrange d’avoir mon âge, aucun enfant, et être en fait « l’enfant » de la maison.

 

 

D’où te vient cette passion pour le design et la création ?

Wilfried : J’ai eu mon père qui collectionnait tous les objets et les maquettes en rapport avec les pompiers. C’est un ancien pompier de Paris comme dit précédemment et je pense que le virus était là bien avant mon arrivée. C’est sans doute lui qui m’a fait me mettre aussi la maquette, la peinture, et la création. Dans la famille, entre mon père qui continue de créer des maquettes et des dioramas, mon petit frère qui est tatoueur, et ma sœur qui fait du pin stripping (de la peinture sur carrosserie pour les voitures de luxe), je pense qu’on a tous eu cette petite influence créatrice en nous.

Très jeune déjà, je m’amusais donc à faire des maquettes que l’on m’achetait, mais je me suis très vite mis à essayer de faire moi-même des dioramas. Je me rappelle à 12 ans que je m’étais vraiment pris la tête pendant des semaines à recréer ma chambre dans une maquette de la taille d’une boîte à chaussures. Comme ça, juste pour m’amuser. Mais avec un niveau de détails et de perfectionnisme qui s’est encore améliorer aujourd’hui. Je suis un acharné du détail.

J’ai découvert ensuite que l’on pouvait acheter des garage-kit (RoboCop, Predator, Small Soldiers que je trouvais chez les modélistes, des tirages vinyles de mauvaises qualité, mais que j’adorais !) puis je me suis mis à essayer de faire de la sculpture et des découpages pour pouvoir faire des moulages silicone. Aujourd’hui, depuis quelques années, grâce à la démocratisation de la modélisation et l’impression 3D je peux vraiment exprimer mon art de la façon la plus précise qui soit, et toujours repousser les limites de la création. Ceux qui me connaissent le savent, j’adore répondre aux challenges de créer des figurines personnalisés, parfois en partant d’une blague par exemple (La figurine de MortalG que j’ai créée après un live où un commentaire m’a dit « Will à quand une figurine MortalG ? ». La figurine était modélisée et imprimée la semaine d’après ! (Rires).

 

 

Quelles sont tes influences majeures dans ce domaine ? Peux-tu nous parler de tes créations ?

Wilfried : Je suis très légèrement (rires), monomaniaque en termes de licence, je ne fais quasiment en ce moment que les Maîtres de l’Univers vintage. Les influences sont multiples, et la plupart du temps ce sont des personnes inconnues qui ont du génie pour créer des choses et les partager qui me donne envie de faire de même. J’adore voir sur Internet ou même sur les réseaux sociaux, des gens qui interprètent à leur façon les héros de notre enfance.

Je suis également passionné par les techniques utilisées pour créer tout ceci, autant les techniques de machine 3D, que ce qui peut être fait manuellement, avec des recettes inventées soi-même pour obtenir des résultats vraiment bluffant. Comme par exemple avec le « Musclor Zombie Slime Pit » que j’ai créé, ça a été vraiment le premier custom qui m’a permis de me faire connaître et de vendre des figurines aux fans. La figurine n’existait pas, il y avait eu quelques tentatives de proposer ce personnage en distribution officielle, et aujourd’hui, je remercie tout le monde d’apprécier mon interprétation de ce personnage.

 

 

Toutes mes créations partent du même constat : J’adore imaginer, ou que l’on me fasse des commandes spécifiques, des personnages, réinterpréter, avec de nouvelles couleurs, ou alors représentant quelque chose de particulier pour la personne qui me le commande. Je pense que dans mes créations, il y a aussi le fait d’inventer des jouets que nous n’avons pas eu plus jeune, comme par exemple, mes tapis de jeu.

Je crée aujourd’hui des tapis de jeux pour aller avec les châteaux et décor des Maîtres de l’Univers. J’en ai des dizaines en attente sur des cahiers de croquis ! Je pense que ce qui m’a beaucoup influencé, c’était les tapis de jeu qui existaient dans certaines licences, comme par exemple celui du Savant Fou, où on pouvait disséquer un extraterrestre, déposer les organes sur le tapis de jeu représentant de laboratoire. J’ai même des gens qui me demande pourquoi je ne fais pas des tapis de jeu pour d’autres licences, et c’est touchant.

 

 

Sucré ou salé ?

Wilfried : Oh là là ! C’est une question, impossible pour moi ! Je suis tellement gourmand, que du moment que c’est bon, ça peut être sucré ou salé. J’adore en plus goûter les choses que je ne connais pas, j’ai un peu voyagé, et c’était au Japon que j’ai découvert que l’on pouvait manger des choses très bizarres, parce que complètement aux antipodes de notre culture gastronomique.

Mais même ici en France, j’adore qu’on me propose de goûter quelque chose que je ne connais pas, et je suis très souvent agréablement surpris. Sauf s’il y a du fromage de chèvre, c’est ma Kryptonite, vous savez désormais comment me détruire (Rires).

 

Si tu devais citer trois œuvres déterminantes pour toi et empruntées dans la pop culture, quels seraient-elles ?

Wilfried : Ce serait fayotter de citer celles de Freddy Dermidjian ? Parce que très sincèrement, au-delà d’être un ami génial, c’est quelqu’un dans lequel je me retrouve graphiquement. Il suffit de regarder la façon dont je dessine également, avec tous ces conseils, c’est hachure, et le travail du noir et blanc, qui permet vraiment de faire ressortir les détails et donner du volume à un dessin.

Sinon, je dirais le film Terminator 2, œuvre majeure qui a bouleversé et changée ma vision et ma philosophie des voyages dans le temps. Je suis passionné par les histoires de voyage dans les temps, leurs intrications, leurs paradoxes, la façon dont tout peut changer dans les 2 sens de l’histoire. Terminator a été une claque visuelle et intellectuelle. Ce n’est pas bizarre d’utiliser intellectuelle dans ce genre de cas ? (Rires)

Paradoxalement aussi, il y a des œuvres manga comme AppleSeed qui ont changé aussi ma façon de créer. Je me suis mis au lycée à dessiner des robots, toute la journée. C’était le grand jeu avec mon ami Ludo avec qui on se battait pour les plus beaux dessins. Sans doute pour épater les filles aussi, on « dessinait tellement bien » !

Je dis paradoxalement parce que je suis à mille lieux de l’univers manga. Je n’accroche vraiment pas, sauf quelques rares fois. Comme pour la nourriture, on goute avant de dire si on aime ou pas, même si on a des aprioris, on retente pour voir si on ne passe pas à coté de quelque chose.

 

 

Et aussi les comics en général. Même si je suis un grand fan de Batman, je dirais que ma grosse claque graphique et narrative je l’ai prise avec Kamandi. Là on a perdu presque tous les lecteurs (Rires). Quand je donne son nom, personne ne connait. C’est un personnage de l’univers DC dans un monde où les humains n’existent plus, sauf lui, et où les animaux ont pris un contrôle absolu sur la civilisation. C’est même drôle de voir à quel point les traits humains les plus malsains et pervers ont été singé par les animaux au pouvoir.

Enfin, on reste dans le comics mais français, avec Mikros du génial Jean-Yves Mitton. L’histoire est folle, à l’américaine mais pour le public français à la base. Jean-Yves se faisait appeler John Milton pour le marché outre-Atlantique. Ce qui m’a vraiment marqué dans cette histoire c’est que 2 des héros du trio meurent, puis sont ressuscités en zombie par le grand méchant de la BD qui veux épouser la 3e acolyte, et que des loubards vont pousser les 2 zombies sous le métro parisien, leur rendant leur pouvoir ainsi sans le savoir !

J’ai grandi avec les comics, c’est sans doute pour ça qu’aujourd’hui j’ai plus de mal avec l’univers manga, même si l’un n’empêche pas l’autre !

 

 

Si tu devais citer tes héros, qui seraient-ils ?

Wilfried : Je pense avoir fait pas mal le tour précédemment, je dirais donc Les Maîtres de l’Univers, Batman, Kamandi et Mikros.

Les Maitres de l’Univers pour les jouets. Batman pour les BD, avec des histoires et des interprétations cinéma encore géniales aujourd’hui. Kamandi pour le coté graphique et apocalyptique. Et parce que tant qu’aucun studio n’a touché à la licence, j’en trouve encore chez les bouquinistes à prix abordable (rires). Mikros parce que j’ai pris une claque niveau ambiance de bande-dessinée.

On grandi avec nos héros, ils nous accompagnent dans notre vision du monde, parfois dans l’utopie que l’on se fait de celui-ci. Ils sont là pour nous inculquer des morales, qui germent sans doute parfois dans nos têtes et forgent notre vision des choses. Ce n’est pas grand-chose, mais ça contribue surement à ce que notre génération (je suis né en 1979) soit un peu plus posée, plus avisée, et plus réfléchie que les autres. Pas tous bien évidemment, mais mon constat est global, surtout à travers les gens bienveillants que je croise dans les communautés de passionnés.

 

 

Nous te laissons le mot de la fin.

Wilfried : Déjà, je voulais te remercier Nicko de m’avoir accordé cette interview. Ça fait bizarre de se dire qu’on est interviewé alors qu’on a l’impression de n’être qu’une goutte d’eau dans un océan de gens géniaux, aux idées folles et incroyablement créatives. Je voulais aussi remercier tous ceux qui croient en moi, qui m’envoient des messages pour me féliciter, et qui continue à apprécier tout ce que je crée.

Il y a encore quelques années je ne pensais pas que j’en serai là aujourd’hui avec mes petites créations. L’idée était de partager le plaisir que j’avais autour de Maîtres de l’Univers, j’ai découvert bien plus que ça. Pour l’histoire en quelques mots, j’ai fait une très grosse dépression il y a quelques années, et dans cette mélancolie lancinante que je ressentais tous les jours, je me suis mis à revendre toute ma collection de jouets. Je me suis arrêté devant mes cartons de maître de l’univers, et ma compagne m’a dit « ne les vend pas ceux là, c’est ceux de ton enfance, et tu vas le regretter ». En effet, mon père a été pompier longtemps, et comme il ne rentrait pas souvent à la maison, il adorait me ramener une figurine des Maîtres de l’Univers à son retour.

Avec également Jerry Chamand et Freddy Dermidjian qui sont aujourd’hui pour moi comme des frères, alors que l’on ne s’est rencontré il y a quelques années, j’ai découvert plein de gens autour de moi qui m’attendent pour de nouvelles créations.

 

 

Ça va être le cas d’ailleurs prochainement, car je suis en train de recréer, avec Freddy aux commandes du packaging, la marionnette du serpent du Rocher de la Peur. Mon tapis de jeu du Snake Mountain ensuite devrait sortir en fin d’année, tout en sachant bien entendu que j’adore créer de nouveaux tapis, il en arrivera d’autres dans la foulée !

Et on vous prépare une surprise ENORME avec Jerry, Freddy et quelques autres !
Mais il faudra nous suivre pour savoir !

Encore merci à toi, merci à tous et à très vite !

 

Wilfried Fourrez est une personnalité qui ne laisse pas indifférent, tout comme ses créations. Nous pouvons être fiers en France de compter parmi nos artistes des designers aussi talentueux. De Freddy Dermidjian en passant par Wilfried Fourrez, la créativité ne semble avoir plus aucune limite.

Je souhaite remercier Will pour sa disponibilité, sa gentillesse, c’est un personnage aussi attachant que brillant. La rédaction de FuluroPop adresse tous ses vœux de réussite et de reconnaissance à Will. Rendez-vous dans quelques jours afin de découvrir ensemble d’autres talents. Merci à tous pour vos lectures.

21 comments

Archangel Eddy says:

Je me permets de te reprendre sur Mikros. Il n’a jamais été conçu pour les américains, ni le pseudonyme de Mitton, c’était uniquement à destination des français, ça n’est d’ailleurs pas sorti aux US à l’époque et toujours pas à ce jour de ce que je sais. Son compère Photonik ne va sortir aux US pour la première fois que cette année.

Nicko says:

Un avis peut-être sur la personne interviewée ? Un message de soutien pour le magazine ou bien pour Will ? Un message qui ne te concerne pas directement ? 🙂

ayorsaint says:

Ho non !!!!!!
Pas ce genre de controverses sur FulguroPop SVP 🙏🙏🙏🙏
Le rare endroit encore un tant soit peu préservé de toute la merde de la toile et des réseaux sociaux. Allez donc laver votre linge sale ailleurs, il y a tellement de lieux pour cela malheureusement.

ayorsaint says:

Le message précédent devait se retrouver tout en bas de la liste mais il y a eu un bug…

Franck Lemaire says:

Will est une personne qui fait partie de la famille MORTALG.
J’ai commandé a Will la figurine de MORTALG, je suis son plus grand fan.
J’ai la chance également de posséder le Musclor Slime Pit.
Plus qu’une communauté YouTube, une famille, des univers différents etc…
Bref, la plupart du temps moi c’est mon cœur qui parle.
Certains critiques. Ils ont la haine et bien eux ils doivent être malheureux dans leur vie et je les plains.
Bravo mon Will !

Nicko says:

Merci beaucoup Franck pour ta présence 🙂

Je connais Will depuis très peu de temps mais il a été particulièrement chaleureux et bienveillant avec moi. J’ai été très heureux de le mettre à l’honneur dans le magazine. J’ai eu la chance d’accueillir Freddy Dermidjian à la maison également. Nous avons de la chance en France d’avoir des artistes/créateurs aussi talentueux que Freddy et Will. Cocorico !

Joli article, superbe écriture.
J’aimerais juste attirer votre attention sur quelques détails afin de continuer à prendre plaisir à vous suivre, à moins que cette interview ait un but promotionnel et la crédibilité de votre article ne soit que détails…
Il serait en effet plus précis de parler de réalisation que de création, la plupart de ses projets ou de ses réalisations existaient déjà avant l’ère Covid !
On est plus proche d’Usurpator que du génie du design.
Il est dommage que votre article aux renseignements douteux porte préjudice aux vrais artistes de cette communauté.
Wilfried est à mon sens, comme il l’est pour beaucoup d’autres, ce qu’était Gérard Majax pour la magie.
Bonne continuation, au plaisir de vous lire.

Nicko says:

Merci infiniment pour vos remarques introductives très motivantes 🙂

C’est dommage qu’après vous remettiez en cause la crédibilité de ma production. Il semblerait que vous ayez des contentieux avec Wilfried Fourrez. Je vous invite de nouveau à régler ceux-ci avec le principal concerné sans tenter maladroitement de discréditer un auteur, en l’occurrence moi, ainsi qu’un magazine comme le notre.

Nous sommes au service des autres, nous ne sommes ni payés, ni rétribués d’une quelconque manière. Nous sommes de simples passionnés qui œuvrons pour faire vivre la pop culture en France. Aussi, il n’y a aucun but promotionnel ni partenariat avec les gens que j’interview. Donc je vous prierai de garder pour vous vos suspicions évoquant la crédibilité de ce que je produis ainsi que la « nature douteuse des renseignements ».

Bonne continuation également.

Lanace says:

Content d’avoir des artistes français qui proposent aux fans des créations géniales, nous n’avons plus à envier nos voisins.
Will est un personnage très attachant doublé d’un créatif en ébullition !
Qu’il continue de faire rêver les fans en leur proposant des idées originales (comme avec ses tapis de jeu).
Grâce aux artistes comme Will, les univers auxquels nous sommes attachés continuent de vivre, notre passion, elle, continue à brûler. Pour ça, merci à lui.
Continue le bon boulot l’ami !

Nicko says:

Merci mon Lanace pour ta présence 🙂

Je suis bien d’accord, le travail de Will est un peu la continuité de notre enfance. Et j’ai été très séduit par sa personnalité.

Je trouve dommage d’avoir censuré mon avis.
La liberté d’expression n’est donc pas respectée afin de rétablir certaines vérités. Je partagerai donc mon avis et votre article sur les réseaux sociaux.
Bien cordialement, des artistes volés et en colère.

Nicko says:

Qui a censuré votre avis ? Vous confondez la censure et votre empressement. Nous avons des vies/familles à la rédaction et les messages sont filtrés par un robot. Il nous faut du temps pour les traiter 🙂

D’autre part, les vérités des uns sont les mensonges des autres. Nous ne sommes pas un tribunal ici, nous mettons à l’honneur des gens avec bienveillance et passion. Merci de vous entretenir avec une personne compétente dans le domaine juridique afin de régler votre éventuel différent avec le principal concerné. Bien à vous.

Magnifique découverte. J’étonnerai personne en disant que je suis fan du « Musclor Zombie Slime Pit ». SPPPPPPLENDIDEEEE !!!!

Dermidjian freddy says:

Un superbe travail d’écriture par Nicko pour un super artiste qu’est Will.
2 personnes en or que j’ai eu la chance de voir en vrai.
Et qui méritent d’être connus dans cette vision du partage.
Car tout part de là.

Nicko says:

Merci beaucoup Freddy pour ces mots qui me touchent beaucoup.

Je crois que c’est moi le chanceux pour t’avoir rencontré en vrai. Un moment à renouveler et comme tu le sais début août je suis sur Lyon, donc je passerai à la boutique te faire un coucou. Enfin le partage et la fédération sont des valeurs qui me tiennent particulièrement à cœur. Je retrouve également Will dans celles-ci 🙂

Michael Marguin says:

À l’instar de Freddy cité plus haut, outre le très grand talent de Will, ce qui le caractérise c’est sa gentillesse et sa bienveillance.
Cela fait du bien d’avoir des personnes de ce genre parmi notre communauté de passionnés.
Et merci à Nicko ainsi qu’au site FulguroPop pour tous ces passionnants reportages.
Michael.

Nicko says:

Merci à toi Michael, pour ta présence mais aussi pour tes mots.

Je souscris de manière inconditionnelle à cet attachement aux valeurs de bienveillance et de gentillesse. Chez FulguroPop, comme dans la famille MortalG, nous faisons de notre mieux pour rassembler des passionnés, artistes et autres créateurs, afin de les mettre à l’honneur.

Merci de nouveau Michael pour ton intervention très appréciée ! 🙂

Ryuzo says:

Non mais sans déconner les mecs, il ne fait pas déjà assez chaud comme ça ?!

Allez un bon Orangina bien frais, ou toute boisson de vôtre convenance, et on passe un bon moment entre passionnés.

Bravo Nicko pour ton interview passionnante avec un passionné talentueux 👏👏👏.

Nicko says:

Merci mon Géronimo !

Ryuzo says:

Mais de rien. Il fallait bien que je partislip, man.

Nicko says:

Excellent !

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