FulguroPop est un web magazine dédié à la pop culture. Celle-ci est polyforme et en ce sens nous mettons un point d’honneur à vous proposer des thèmes variés. L’univers vidéoludique s’inscrit dans cette dimension populaire depuis plusieurs décennies déjà. Du rétrogaming jusqu’aux plateformes modernes, les jeux vidéos constituent désormais un pan incontournable de la culture.
C’est pour cela que nous inaugurons aujourd’hui un nouvel espace d’expression réservé aux jeux vidéo : FulguroPix. La thématique vidéoludique sera bien évidement abordée sous sa dimension contemporaine mais également vintage. Les approches seront plurielles avec des reviews, des tests, des avis, des coups de cœur ou encore des analyses.
Je vous propose de commencer en évoquant Street Fighter II, un jeu vidéo que j’emporterais avec moi sur une île déserte. Je pèse mes mots. Le prisme sera partiellement analytique avec quelques ponts culturels et historiques. Bonne lecture à tous.
L’évolution du jeu de combat
C’est la firme Capcom (Capsule Computers) qui sera le développeur et l’éditeur historique de la licence Street Fighter. Le second opus, qui va débarquer en Europe durant le dernier trimestre de 1992, marquera à jamais l’histoire des jeux de baston. Le succès sera mondial avec un chiffre avoisinant les 12 millions de copies vendues notamment aux Etats-Unis, au Japon et en Europe.
L’adaptation de Street Fighter II pour la Super Nintendo a largement contribué au succès de la console. Nous nous souvenons tous du fameux pack que j’ai eu la chance de connaître, comme beaucoup de trentenaires et quadragénaires je pense. C’est précisément cette version que je vais évoquer tout au long du dossier.
Street Fighter II est à considérer comme un des pionniers du jeu de combat sous sa forme moderne. J’entends par là que le classique 1VS1 a été mis au goût du jour et rafraîchit dans un contexte qui, à cette époque, favorisait plutôt le style du Beat Them All. Capcom a su parfaitement exploiter le système 16 bits de la Super Nintendo afin de nous offrir un gameplay dynamique et instinctif, des graphismes et une esthétique remarquables ainsi que des musiques aux thèmes diversifiés.
Modes et personnages
Le jeu Street fighter II comporte deux modes bien distincts : d’abord un tournoi solo de type arcade où le joueur affronte des personnages contrôlés par une intelligence artificielle. Le périple international est jalonné de sept combats qui conduisent, en finalité, à affronter successivement quatre « boss ». Des « bonus stages » entrecoupent le parcours en offrant la possibilité de générer des points supplémentaires.
Première particularité notable, la taille des personnages à l’écran. Ils sont clairement grands. L’animation de ces deniers et une certaine fluidité contribuent au plaisir de jouer. L’idée d’affronter des combattants aux origines différentes est pertinente dans le sens où la diversité sera de rigueur, tout comme les codes culturels.
Honda incarnera le sumo japonais par excellence, Zangief le lutteur russe. Ryu et Ken, rivaux historiques, seront les dignes représentants d’un karaté modernisé. Blanka le brésilien n’est ni plus ni moins que le roi de la jungle. Gare à l’indien Dhalsim dont la sagesse apparente cache le feu sacré. Guile, le militaire américain, brille par son style et son assurance. Enfin Chun-Li apporte la touche féminine chinoise avec un jeu de jambes redoutable.
Du côté des quatre « boss » qui ne sont pas jouables dans cet opus, on retrouve le boxeur américain Balrog, brutal et agressif. Vega incarnera la grâce, le mystère et l’élégance à l’espagnole. Attention cependant à sa griffe aiguisée. Sagat sera le dangereux géant pour lequel la boxe thaïlandaise n’a plus aucuns secrets. Enfin Bison , le redoutable dictateur de Shadaloo, incarnera l’ennemi final.
Le travail de Capcom a été remarquable concernant la mise en scène de tous ces personnages. Que ce soit les décors tout comme les musiques, les thèmes sont en adéquation parfaite avec la culture de chaque combattant.
Gameplay et techniques
Street Fighter II est un jeu de combat qui supplante techniquement ses rares prédécesseurs. Le tour de force de Capcom a été d’introduire de la technicité tout en conservant un gameplay instinctif, très intuitif. Les coups se répartissent en trois catégories basiques pour les mains et les pieds : faibles, moyens et puissants.
Des combinaisons avec la croix directionnelle permettent de générer des attaques spéciales qui ont fait le succès du jeu. Les boules de feu et autres Shoryuken se sont inscrits à jamais dans la mémoire collective. Certaines manipulations étaient plutôt aisées à réaliser, comme le quart de cercle vers l’avant. D’autres étaient plus complexes à l’image du 360° indissociable de Zangief, mon personnage favori.
Autre point crucial, les compétences des personnages influant sur les déplacements. La diversité esthétique évoquée précédemment est à mettre en perspective avec le style des combattants. L’agilité de Blanka et Chun-Li sera, par exemple, en opposition stricte avec la lenteur et la puissance de Honda ou encore de Zangief. Toutes ces particularités requièrent une appréhension du jeu différente selon le choix du personnage.
Il existe bien d’autres spécificités techniques encore, comme le déclenchement d’attaques répétitives en « spamant » une touche précise ou encore les projections au corps-à-corps. Le gameplay est varié avec un juste équilibre entre technicité et spontanéité (cf. arrière pour la protection).
Analyses et thématiques
Avant de clôturer cette succincte mise à l’honneur du jeu Street Fighter II, je souhaiterais établir quelques ponts culturels. Le thème des combattants aux techniques et origines différentes se rencontrant dans un tournoi unique est quelque chose que l’on connait bien. En 1988, le film Bloodsport – Tous les Coups sont Permis, mettant en scène Frank Dux campé par l’acteur Jean-Claude Van Damme, était annonciateur de ce qu’allait être la licence Street Fighter.
Autre symétrie : l’année 1992, avec Street Fighter II, a été déterminante dans l’évolution du sous-genre qu’était le jeu de combat. Mais c’est aussi une date clef dans la construction de l’Europe. En effet, le traité de Maastricht est un pilier fondateur de l’union européenne ainsi que de l’unité souhaité entre les pays qui la composent. Cette idée d’interaction géographique est à mettre en perspective avec la pluralité des nationalités relatives aux combattants de Street Fighter II, lesquelles se centralisent autour d’un enjeu commun, celui du tournoi.
Enfin, plusieurs références culturelles sont clairement identifiables dans les décors des différents « stages » du jeu. Concernant Zangief par exemple, la Russie travailliste avec ses ouvriers buvant en arrière-plan est représentative d’une époque ouvrière rouge. Le décor relatif à Guile est une ode à Top Gun. Celui de Chun-Li évoque la Chine populaire. Les références sont innombrables.
Epilogue
Le jeu Street Fighter II a marqué ma jeunesse. Je tenais absolument à lui rendre hommage en inaugurant ce nouveau point de rendez-vous vidéoludique. Une dizaine de dossiers comme celui-ci seraient nécessaires pour être exhaustif concernant le thème Street Fighter II. J’aurais pu encore aborder les variations nominatives des quatre « boss », le mythique mode 7, les éditions spéciales, les suites ou encore le premier opus de la saga.
Ce sera l’occasion de produire d’autres contenus en lien avec l’univers du jeu vidéo. J’espère dans tous les cas que cette petite rétrospective a été agréable. N’hésitez pas à partager dans l’espace des commentaires vos souvenirs et expériences dans le domaine vidéoludique.
Nous vous donnons rendez-vous très bientôt afin de découvrir un nouveau numéro de FulguroPix. Merci à tous pour vos lectures. Cette production est spécialement dédiée à Thibaut Cavet, Jouck, FurySanctuary, Olivier Rondello, Luc Francini et Jean-Joris Sleiman.
- Calendrier de l’avent – Jour 15 : Palais du Pouvoir (Mattel 1986) - 15 décembre 2023
- Calendrier de l’avent 2023 – Jour 12 : Robo Machines (Bandai 1993) - 12 décembre 2023
- Calendrier de l’avent 2023 – Jour 10 : Le Rocher de la Peur (1986) - 10 décembre 2023
Meilleur jeu de baston de tous les temps, une référence, il a posé des bases qui finalement n’ont jamais beaucoup évolué, tellement elles étaient parfaites.
Pour preuve de sa perfection, même 30 ans plus tard, le jeu tient toujours la route et reste irréprochable.
Pour ma part j’ai une préférence pour SF2 Turbo, auquel je rejoue régulièrement sur ma Snes Mini, bien que j’ai encore la console d’origine et le jeu.
Une petite précision sur les références culturelles que tu cites, même si on est parfois plus à la limite du plagiat, le décor URSS de Zangief et celui de Ken sont carrément pompés d’un vieux film de 1975, Le bagarreur avec Charles Bronson (Hard Times en VO). Comme tu le dis, le décor de Guile est inspiré de Top Gun, et l’inspiration allait plus loin que ça, à l’origine les thèmes de Ken et Guile étaient inversés, on entendait donc la musique de Ken sur le décor de Guile. Et cette musique n’est pas sans rappeler (un tout p’tit peu…) Mighty Wings du groupe Cheap Trick, qui fait partie de la BO de Top Gun. Ceux qui veulent se rendre compte par eux même, je vous laisse le soin d’aller checker sur Google 😉
Merci Lupo pour ta lecture et ton message passionnant/passionné ! 😀
« Meilleur jeu de baston de tous les temps » Oui, je n’aurais pas dit mieux lol Je rejoins à 100% ta remarque concernant les bases posées par Street Fighter II. La version Turbo, que j’ai eu dans ma jeunesse, est intéressante dans le sens où les boss deviennent jouables. Mais le principe d’une vitesse augmentée, jusqu’à des limites extrêmes, n’apportent pas forcement un vrai plus. En tout cas dans l’excès.
Merci pour tes précisions culturelles ! Je vais m’empresser de consulter les références que tu cites.
SF2 quel plaisir de le relancer et en particulier 2X (SuperStreetFighter2Turbo=SuperStreetFighter2X). Il y a eu de nombreuses révisions avec rajouts et surtout équilibrages.
Concernant les dernières versions, HD Remix est simplement 2x avec des graphismes HD mais je préfère le rendu « ancien ».
Par contre la dernière en date UltraStreetFighter2 bousille tout en déséquilibrant le jeu avec les persos Evil et Violent.
Petit point également, les noms des boss qui varient selon les pays pour cause de droits. Les vrais noms sont ceux Japonais mais le plus simple pour ne pas dire n’importe quoi est d’utiliser les noms alternatifs.
Dictateur=Bison (Europe)=Vega (Japon)
Claw=Vega (Europe)=Balrog (Japon)
Boxeur=Balrog (Europe)=Bison (Japon) on comprendra facilement la référence en prenant son nom complet, Mike Bison (Mike Tyson).
Pour finir … A MORT LE 16/9 c’est un jeu 4/3, là on a Fat Ryu, les cercles sont ovales… Même avec la PS2 et Xbox, la plupart des jeux étaient encore 4/3, le 16/9 n’était souvent qu’un sale rognage, voir une déformation de l’image.
4/3, 4/3 !!! xD
Comment attirer un Fury des bois hors de sa tanière : prenez une ficelle. Accrochez à l’extrémité une cartouche de Street Fighter II. Lancez le jeu au loin en tenant l’autre bout du cordage et attendez. Seulement quelques minutes après, ça tirera par à-coups. Le Furysanctuary sauvage des bois est débusqué ! Il faudra, après l’avoir ramené, le saisir et le placer devant un écran 4/3.
Si vous souhaitez capturer un Slipman vintage des bois, remplacez la cartouche de Street Fighter II par un slip. Propre ou tâché, les deux fonctionnent ! 😀
xD Je valide
Merci pour la dédicace !!!
Quel jeu mythique, on en aura passé des heures sur ce jeu, tous ces souvenirs de lancés de manettes et de débranchements de la fiche avec les orteils :-). Je voulais souligner aussi que ce jeu marque un tournant dans le jeu vidéo car il permet d’avoir l’arcade à la maison. En effet, il a été adapté de la borne d’arcade du même nom ce qui était exceptionnel pour l’époque, de plus ce n’était pas prévu par les développeurs mais c’est le jeu qui a inventé les combos (enchaînements de plusieurs coups). C’est vraiment le pionner des jeux de combats.
Pour ma part j’avais eu le pack Super Nintendo avec Street fighter 2 turbo qui permettait de jouer les 4 boss, d’avoir différentes couleurs et d’accélérer le jeu avec un système d’étoiles (jusqu’à 10 étoiles avec un code secret ^^).
Pour ajouter une petite référence rigolote, dans le film City Hunter (Nicky Larson) avec Jackie Chan, il y a un clin d’œil à Street Fighter 2.
Enfin très bon article, la bise la Nicolette !!
Merci pour tes précisions Jean-Jorissette ! Et merci pour ta lecture. Des heures oui à batailler sans répits, en criant, avec de beaux vols planés de mannettes lol ! Le Dello nous aura fait bien des misères avec sa belle blonde, Ken. Je suis le seul qui ait conservé sa dignité dans toute cette histoire en jouant Zangief ou Honda. Toi, tu as vendu ta culotte en prenant l’autre blonde américaine, Guile !!!!!!!!!!!!!!!!! La fessée !
A la fin de de ce confinement, on rebranchera le Super Nintendo et on jouera. LE JEU !!!
J’y compte bien !!!!
LE jeu de mon adolescence clairement.
Tout a été dit dans l’article et les coms mais petite précision : non seulement l’invention des combos n’était pas voulue par les développeurs mais relève même d’un bug. Un bug a donc été à l’origine d’un des aspects les plus importants du 1vs1.
Super rubrique, vivement la suite !!!!!!
Merci Ayorsaint pour ta lecture et ton message ! 😀
Le thème Street Fighter II mériterait quelques lignes encore. Merci pour tes précisions concernant la genèse des combos. Street Fighter II est également LE jeu de mon adolescence et plus encore. Je n’ai jamais cessé d’y jouer finalement. Un classique intemporel dont la recette fonctionne encore de nos jours. La suite très bientôt avec des jeux plus contemporains mais également quelques références cultes de nos années jeunesse !
Pour en savoir plus sur les différentes versions, direction Ken Bogard.
[Ep#51] Coffre à VS – Les différentes versions de Street Fighter 2 #1
https://www.youtube.com/watch?v=9gpi61npUSY
C’est l’un des jeux qui m’a le plus marqué sur la SNES. Je me rappelle l’avoir eu à Noël en version jap avec l’adaptateur. Le kif à l’époque.
Idem, j’ai eu le pack Super Nintendo avec Street Fighter II pour un Noël. Que de souvenirs, j’étais en trance le jour où j’ai branché la console à la TV cathodique !
Anecdote 1 : La cartouche à sa sortie coûtait 650 Francs soit 100 Euros.
En tenant compte de l’inflation, 150 Euros aujourd’hui…
Je pense l’avoir quand même amortie tellement j’y ai joué.
Anecdote 2 : Sur Super Nes Mini japonaise, ils ont eu droit à Super Street Fighter 2 (les boss et quatre nouveaux persos jouables dont Cammy (love)) quand nous avons dû nous contenter en Europe du turbo qui de mon point de vu n’apporte rien voir même une regression avec cette vitesse abusée comme l’a dit Nicko.
La version Turbo apporte beaucoup plus de choses qu’on ne le penserait, outre la possibilité de régler la vitesse ce qui est quand même non négligeable, parce que le 2 classique est quand même un poil lent. Déjà on peut maintenant et enfin jouer avec les boss, mais surtout y a plein de petites modifications plus subtiles, à commencer par un rééquilibrage du jeu. Chaque version améliorée à d’ailleurs eut un rééquilibrage suite aux retours des joueurs en salle, par exemple et entre autre, une modification des patterns, ou la modification et adjonction de nouveaux coups pour certains persos, le Kikoken de Chun Li ou la possibilité pour Ryu de faire son Tatsumaki en saut. Et c’est également à partir de cette mouture que la différence des coups de Ken et Ryu va s’accentuer, avec chacun une évolution de son style dans une voie différente.
Merci pour tes précisions Lupo qui sont très justes 🙂
Street Fighter II est effectivement un poil lent. Deux à trois étoiles maximum dans la version Turbo suffisent largement. Plus c’est un peu trop à mon avis. Pour le reste tu as tout à fait raison de rappeler les modifications techniques, de rééquilibrage etc… Comme l’a mentionné Gountha, des couleurs avaient été ajoutées pour les tenues également.
Merci encore à toi 😀
650 Francs était le prix que ma grande sœur avait payé pour la version Turbo je me souviens. En rupture partout, il restait une cartouche dans un Darty ! Merci pour tes précisions Ayorsaint 😀
J’avais payé 1489 Francs, pour le bundle Street Fighter II et la console, j’ai encore le ticket de caisse lol. J’ai économisé pendant des mois pour pouvoir me l’acheter, je l’avais découvert sur arcade, et c’est LE jeu que je voulais vraiment sur console. J’ai encore la console fonctionnelle, mais plus le jeu, que j’avais revendu pour acheter le Turbo, mais que j’ai toujours lui.
Génial l’anecdote !
Comme toi j’ai découvert le jeu sur borne d’arcade. Le choc quand j’ai vu Zangief à l’écran ! J’ai également une Super Nintendo avec deux exemplaires de Street Fighter 2 (une version euro ainsi qu’une jap également). Mais ce ne sont pas ceux de mon enfance que j’avais revendu pour financer la Nintendo 64. Une autre histoire commençait…
Tu as raison de préciser ça Lupo mais pour moi la version ultime c’est bien Super Street Fighter 2 sur console.
Tu vois Ayorsaint j’aime moins la refonte graphique du Super. Ce n’est qu’une sensibilité personnelle. Le jeu reste génial avec ses nouveaux personnages, décors, musiques, coups etc…
Tout à fait Ayorsaint, sur console de salon de cette génération, ça reste la version la plus aboutie.
Ce n’est pas un Street Fighter 2, mais il y a aussi Street Fighter Alpha 2 qui est sorti sur Super Nintendo quand elle était en fin de vie, c’est la version la plus évoluée de Street Fighter sur cette console.
La console avait du mal à faire tourner le jeu (temps de chargement ) même avec la présence d’une puce supplémentaire S-DD1 dans la cartouche, mais c’était assez impressionnant par rapport aux faibles capacités techniques de la console en comparaison de celles de la borne d’arcade ou des autres consoles sur lesquelles le jeu est sorti (Playstation et Saturn).
Merci pour ce voyage dans le temps pixelisé.
On a tous grandi en mode jeu video, depuis les K7 Amstrad CPC 600 et des poussières, jusqu’aux PS3 et Xbox d’aujourd’hui.
J’espère que ta chronique évoquera la saga Metroid et la franchise Halo.
Merci à toi Anthony pour ta lecture et ton message !
Différentes licences vidéoludiques seront abordées oui. Je compte bien faire un passage par la saga Halo que j’ai beaucoup apprécié 😉
Quel jeu en effet!
Je me souviens de toutes les parties faites sur la borne de démo SNES du JouéClub de centre ville en sortant du collège! Je pense que jusqu’à ce que le jeu quitte la borne, on l’a squatté tous les jours de la semaine ou presque!
J’ai exactement le même souvenir que toi Tom. Une borne d’arcade en sortant du collège situé pour ma part dans un petit bar. Une gifle monumentale lorsque j’ai découvert Zangief.
Merci pour ta présence et ta lecture 🙂