Alors là les amis, je dois me confesser directement. En effet, j’ai mis beaucoup (trop) de temps à me mettre à SNK. Cette histoire de Titans qui dévorent des humains, ça ne me disait rien et les trailers m’emballaient pas plus que ça malgré l’évidente qualité visuelle de l’ensemble. J’avais abandonné The Walking Dead en route après des débuts jouissifs et je ne voulais pas me remettre dans ce genre de délires d’humains persécutés qui finissent par s’entre-tuer. Et puis, un soir, un pote m’a passé les 11 premiers tomes du manga… que j’ai fini par ouvrir un peu à contrecœur. Il m’a fallu quelques tomes mais j’ai fini par sentir le potentiel du truc et je me suis donc mis à l’anime cette année et là… là…
L’ANIME
Là, il m’a bien fallu arriver grosso modo aux deux tiers de la saison 1 pour commencer à me rendre compte que ce que j’avais sous les yeux était peut être une des expériences qui allaient le plus me bouleverser dans ma vie de geek. Car il faut bien l’avouer, les deux premiers tiers sont plus ou moins ce à quoi je m’attendais : une belle boucherie avec de gros humanoïdes difformes aux faciès de trisomiques qui bouffent tous les humains qui passent sous leurs grosses paluches. Évidemment, on remet une couche de gore en mettant bien de l’hémoglobine de partout et le tour est joué. Ha non, j’oubliais, on fait assister des gamins à l’ingurgitation forcée de leur mère et le tour est joué : tous les gens en manque de sensations fortes et de trucs à te faire vomir ton 4 heures sont aux anges. Je peux vous dire que je me demandais quand même ce qui suscitait autant d’excitation autour de moi… alors j’ai continué. Heureusement… Car ensuite, certes le gore est toujours là, mais il sert une grande cause. Et cette cause, c’est une histoire démentielle. Car avant toute chose, c’est toujours l’histoire qui nous fait rester devant notre écran ou nos pages, il ne faut pas se tromper. Et ce que raconte L’Attaque des titans, et plus encore la façon dont il le raconte, c’est du jamais vu. Je m’explique : vous avez déjà tous vu ou lu des histoires qui subissent des bouleversements inattendus à un moment donné, ces bouleversements entraînant parfois une relecture de tout ce qui avait été dit ou écrit avant. Mais la manière dont le fait SNK, c’est tout simplement grandiose. A chaque fois, on reste le cul collé sur son fauteuil avec les yeux écarquillés en se disant : « mais oui bien sûr maintenant qu’on me le dit…pourquoi je l’ai pas vu avant » mais en fait jamais on n’aurait pu le prévoir avant qu’on nous le dise. Et croyez moi, on tombe parfois de très très haut. On appelle ça le « foreshadowing » : l’auteur te laisse entrevoir ce qui va se passer après et te donne toutes les cartes pour le présager mais si c’est bien foutu tu le trouves jamais… Quand ça apparaît, tu te dis que tu as été vraiment débile de pas le voir venir. Sauf qu’en fait, personne ne l’avait vu venir !!! J’espère que vous m’aurez compris chers lecteurs.
Au-delà de cet aspect essentiel, l’histoire de SNK est sacrément bien ficelée. Je n’en dirai pas un mot ici mais croyez-moi sur parole, pour donner un exemple, Game of Thrones a du mal à se défendre. Et pourtant, l’histoire de Game of Thrones, c’est du lourd, du très lourd même. Enfin jusqu’à la dernière saison… (sniff)
Si je compare les deux œuvres, ce n’est pas gratuit. Car elles partagent deux autres points communs : une ambiance et des personnages. Je commence par les personnages parce que j’aime bien ça les personnages dans les histoires. Et mon Dieu, avec SNK, j’ai pas été déçu. Dans une seule et même série, on tient trois des personnages les mieux écrits du monde du manga. On commence gentiment avec le personnage féminin le plus charismatique de tous les temps : Mikasa Ackerman. C’est simple, je suis amoureux. Plus belle que toutes les autres filles de manga sans jamais être vulgaire, plus taciturne que Ken le Survivant et avec plus de couilles que Guts, quand elle apparaît c’est magique à chaque fois et tu sens qu’il va se passer un truc. Si Disney avait pu s’inspirer d’elle pour Rey ou Captain Marvel, on aurait pas eu droit à deux héroïnes sans saveur ni épaisseur pour faire plaisir aux cotas… Revenons à Mikasa, la relation qui la lie à Eren est tellement forte et mystérieuse, et la pousse tellement à toutes les folies que ça rajoute une fêlure au personnage qui la fait passer directement par la case CULTE. Parlons donc d’Eren maintenant. Il est insupportable. Oui mon deuxième personnage préféré est insupportable. Il s’énerve tout le temps, se lamente de ne servir à rien mais répète inlassablement les
mêmes erreurs et ne comprend que rarement ce qui se trame. Le pire cliché que se traîne le genre Shonen. Et pourtant, le tour de force c’est qu’ici, tous ces défauts sont au service de l’histoire et des autres personnages. Il m’a fallu un peu de temps pour le capter, mais ensuite c’est apparu comme une évidence, Eren est volontairement bourré de défauts. Et à mon avis on n’a pas fini d’en profiter jusqu’à ce qu’il devienne excellent, j’en mets ma main à couper. Le troisième c’est le caporal-chef Livaï (ou Rivail ou Rivaille selon la traduction). Lui c’est le génie du combat, encore plus doué que Mikasa. Et quand il commence à faire des pirouettes dans les airs, c’est l’émerveillement immédiat. Mais encore une fois, c’est son histoire qui en fait un personnage à part. Enfance douloureuse, formé à la dure, il finit dans l’armée pour défoncer du Titan et sauver l’humanité mais avec un cynisme à toute épreuve qui fait froid dans le dos et chaud au cœur à la fois : encore du grand art. Et quand il ouvre la bouche, personne ne bronche, même pas Mikasa. Et je n’ai fait que citer les trois principaux, sachant que les autres ne sont pas en reste, entre les victimes supposées, ceux que le destin n’a pas épargné, les raclures en tout genre, les petits génies de la stratégie militaire… Game of Thrones je vous dit.
Passons à l’ambiance. Le récit se déroule dans une Europe centrale (Allemagne étant donné les noms de la plupart des protagonistes) où seule une immense cité existe, protégée des Titans par trois murs et abritant ce qu’il reste de l’humanité. Jusqu’au jour où un Titan démesuré détruit le premier mur et où tout bascule. On se retrouve alors avec une ambiance oppressante que l’on connaît bien où toute attaque de titans peut arriver n’importe quand. Surtout que les personnages que nous suivons font tous partie du bataillon d’exploration qui a en charge les missions à l’extérieur des murs, donc les plus périlleuses. Les tenues et l’armement de cette armée sont vraiment très réussis. Ils sont en plus décrits en milieu d’épisodes dans des intermèdes instructifs très bien écrits et tirés directement du manga, rajoutant à l’immersion. Les décors tranchent habilement avec cette ambiance de peur puisque tout ce beau monde évolue à dos de cheval dans de vertes prairies ou forêts où la nature a pu reprendre tous ses droits, les Titans n’attaquant pas la faune.
Et ce n’est pas peu dire que ces décors sont magnifiques. On en vient donc au dernier point concernant la technique. Et sur ce point, franchement, à l’heure actuelle, dans le monde de l’animation, personne ne peut lutter avec SNK. Que ce soit au niveau des couleurs, du dessin, de l’animation , des plans proposés, des effets spéciaux avec ou sans images de synthèse, SNK regarde tous les autres de haut, peut être même de très haut.
LE MANGA
Le nom japonais du manga, Shingeki no Kyojin (SNK) tout le monde l’a déjà entendu ou lu. Tellement connu aujourd’hui qu’en tapant SNK sur Google, impossible de tomber sur un article concernant l’ancien fabricant de consoles et toujours éditeurs de jeux vidéos avant la deuxième page de résultats. Un succès faramineux. Et pourtant… ce n’est pas manquer de respect à Hajime Isayama que de dire que son dessin est largement en dessous de beaucoup d’autres artistes mangakas. Pour ce qui est du style, on est clairement dans le subjectif, certains adorent, d’autres dont je fais partie n’accrochent pas. Mais par contre niveau technique c’est objectivement pas terrible : mise en scène des combats, découpage des cases, proportions des corps, arrière plans, on peut quasiment trouver à redire à tous les niveaux. Mais une histoire qui déchire, je ne le redirai jamais assez, c’est la base, et ça peut même être l’essentiel. Attention, ne vous méprenez pas, le manga est tout à fait lisible et le dessin de l’auteur est aussi une des touches essentielles à l’émotion que procure le manga. D’ailleurs, tout en la magnifiant largement, l’anime a su gardé la patte de l’œuvre papier, cette patte particulière qui fait vivre la malaise chaque fois qu’un Titan apparaît ou qu’un être humain disparaît. Car si Game of Thrones et The Walking Dead vous ont habitué à des disparitions de personnages importants, SNK n’est pas en reste à ce niveau. Parfois même apparaît un personnage au design sensationnel et que l’on imagine devoir devenir important pour être bouffé quelques pages plus loin. A d’autres moments, c’est une équipe entière à laquelle on s’était attachés qui peut disparaître sans laisser de traces… ou pas… Rien de nouveau à ce niveau là mais c’est bien réalisé ici et c’était donc à signaler. Comme je me suis arrêté au tome 11 et que je ne lirai pas les autres avant d’avoir vu le reste et la fin de l’anime je n’en dirai pas plus sur la manga. En effet, l’anime est tellement énorme que je ne veux pas découvrir la suite autrement que par ce média. Parfois c’est l’inverse…
LA FIN
Je ne vais parler ici que de la fin de la troisième saison puisque ni l’anime ni le manga ne sont achevés. Je traiterai aussi de ce que je pense trouver dans la quatrième saison et de ce que j’espère y trouver. Ceux qui ne veulent pas de spoils, c’est le moment de passer tout de suite à la partie suivante…
Déjà, je suis obligé de parler de l’épisode 18 durant lequel nos compagnons doivent faire le choix de sauver Erwin ou Armin. Mon Dieu, ce n’est pas la première fois qu’une œuvre met son lecteur ou spectateur face à ce choix Cornélien où l’on ne veut perdre aucun des deux protagoniste. Rien de très nouveau là-dedans, mais put….. qu’est-ce que c’est bien fait ici. On se retrouve à ne pas savoir nous-même quel est le choix à faire et on ne peut finir que bouleverser quelque soit celui qui est choisi. Pour moi le plus grand moment de SNK… pour l’instant.
Ensuite, il y a cette énième révélation qui fonctionne comme un twist phénoménal et nous met face à une toute nouvelle lecture et appréciation de l’œuvre. Je n’ai pas compter mais ce genre de retournement de situation doit bien être le quatrième à ce moment-là qui redéfinit complètement tout ce qui a été entendu, vu ou lu avant. Donc nos amis ont enfin trouvé la mer et l’espoir qui en découle d’une autre vie au-delà des murs et même au-delà de leur île, puisque c’est de ça qu’il s’agissait. Sauf que Eren, lui, sait qu’il n’en ai rien…
On en vient donc à aborder la quatrième saison. J’ai pu voir le trailer ou du moins je n’ai pas réussi à m’empêcher de le voir. Je m’astreint déjà à ne pas aller lire la suite dans le manga, ce qui est déjà un effort colossal. On comprend bien en le voyant qu’une fois de plus la série va complètement changer de ton. Mais cette fois-ci, le décor et l’ambiance vont eux aussi va subirent de profonds changement. Finies les vertes prairies et le beau ciel bleu. Place à la ville aux engins en tout genre, aux armements plus perfectionnés dans un style qui m’évoque la seconde guerre mondiale : pas étonnant vues les révélations sur la déportation d’un peuple en fin de saison 3. Alors au niveau de mes attentes, il y a en premier lieu le besoin viscéral d’être encore totalement pris au dépourvu par ce scénario si bien ficelé. Sur ce point, je pense qu’il ne fait aucun doute que je serai exaucé. Reste à savoir combien de fois Isayama va encore utiliser le foreshadowing pour se jouer de nous comme il sait si bien le faire depuis le début. Bien sûr l’attente est grande aussi de découvrir les autres Titans primordiaux même si le trailer semble avoir déjà divulgué quelques chara designs. Et puis, bien entendu, j’espère en prendre encore plein les mirettes et sur ce point-là le trailer (dont il faut quand même se méfier) est prometteur. Mais les changements de studios (Wit Studio passe la mais à Mappa) ce n’est pas toujours pour le meilleur alors wait and see…
LE GENERIQUE
Je vais en aborder deux mais je dois commencer par dire que toute l’OST de SNK est une pure tuerie qui vous mettra complètement dans l’ambiance quelle quelle soit. Le premier générique dont je vais parler est le numéro 1 de la saison 1. Un truc INCROYABLE jamais vu auparavant pour un anime je pense. Je n’ai pas les compétences techniques pour l’aborder mais c’est peu dire que le comparer à un orchestre symphonique. Les autres ne sont pas en reste, mais celui-ci a un truc en plus au niveau épique, peut être aussi parce que c’est le premier et qu’après on s’y attend… je ne sais pas.
Le second c’est le générique 1 de la saison 3. On change totalement de registre. Les autres sont épiques, militaires, et nous font ressentir l’urgence de la situation. Cette fois, on prend le temps de se poser. Paroles en anglais et japonais très peu présentes, images qui entremêlent le passé et le présent de tous les protagonistes, ce chef d’œuvre suinte la mélancolie à chaque note, à chaque mot. On sent que les personnages ont souffert, souffrent encore et que ce n’est pas fini… mais qu’ils ne sont pas seuls, plus seuls. Magnifique ! Son nom : Red Swan. Il a beaucoup divisé la communauté mais franchement, je ne peux m’empêcher de penser que ceux qui y ont vu un générique de Shojo (manga dont la cible est le public féminin d’âge adolescent) n’ont pas tout compris à ce qu’est SNK. Surtout que cette troisième saison n’est plus du tout qu’un simple récit de guerre et que l’œuvre y a énormément gagné en épaisseur.
Je profite de cette partie auditive pour vous conseiller plus que vivement la VO. Et pourtant, je ne suis pas du tout un puriste à ce niveau-là sachez-le. Les extrémistes qui ne jurent que par les VO et conspuent les gens qui se tapent de la VF ne valent pas mieux que tous les autres extrémistes, c’est mon avis. Mais pour SNK, c’est surtout parce que les Seiyu (doubleurs japonais) sont vraiment incroyables et se donnent complètement dans ce qu’ils font. Sachez que la VF est pourtant fort plaisante et réussie mais je vais me refaire les deux premières saisons en VO tellement c’est incommensurablement au-dessus. Voilà, c’est dit, et vous ne vous gâcherez pas non plus la plaisir de découvrir SNK si vous optez pour la VF.
LE MOT DE LA FIN
Vous l’avez déjà compris si vous avez lu ce qui précède, l’Attaque des Titans est pour moi ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle en termes d’animation. Les années 80 étaient l’âge d’or, les années 90 ont consacré Dragon Ball, les années 2000 ont été celles de Naruto puis Death Note. Nul doute que les années 2010 appartiennent à SNK. Je ne vois personne pour soutenir la comparaison et même les glorieux aînés ont pris un petit coup de vieux au niveau de la maîtrise scénaristique de Isayama. Le gars avait tout prévu depuis le début, chaque retournement de situation, chaque détail est pile là où il devait être. Rajoutez à ça une réalisation sans faute du côté de l’anime et vous obtenez un futur chef d’œuvre qui passera à la postérité des mangas. Car franchement, je n’imagine pas une seconde que la fin puisse être foirée comme celle d’un Naruto ou d’un Game of Thrones pour faire référence aux US. Isayama a trop bien préparé son coup. Ma seule crainte serait que l’anime ne prenne pas le même chemin que le manga puisque les deux vont se terminer à peu prêt en même temps mais je prie pour que Isayama ai refilé sa fin aux concepteurs de l’anime. Bref, en attendant le sortie de la saison 4 à l’automne dépêchez-vous de vous jeter sur SNK, il est encore temps pour vous de découvrir la fin de ce monument en même temps que la communauté.
Comme d’habitude, pour finir, le cadeau figurines de chez Figma cette fois-ci.
Formidable !
Voila le mot qui me vient avec l’Attaque des Titans, pourtant je ne suis pas vraiment porté sur les animes modernes, mais là, je ne peux que te suivre sur la voie de l’émerveillement générée par le génie.
Je ne vais pas développer plus, car tu l’as tellement bien fait, mais oui ! Nous sommes face à un ovni qui marque et marquera les esprits pour longtemps.
Oui à n’en pas douter il y aura un avant et un après. Beaucoup vont s’inspirer du foreshadowing façon Isayama.
Bonne présentation sans en dire trop pour ne pas spoiler les surprises qui attendraient les lecteurs intéressés. Je suis un grand fan (sur le tard) de SNK. Ce sont les commentaires du chef et un collègue de travail qui m’ont fait m’y mettre. Sur chaque saison, c’était comme avoir plusieurs révélations importantes comme dans 6eme sens, et parfois amené de façon très plate à tel point qu’on se demandait si on avait bien compris les paroles (révélation sur certains titans $avec un passage musical génial) et pourtant ça marche impec. Et bien que le danger guette nos héros et que l’arrivée d’un drame soit souvent palpable, on a parfois droit a des passages amusants, mention à Sasha et son appétit.
Contrairement à toi, je n’ai pas attendu ni regardé la saison 3 et je n’ai pu m’empêcher de lire le manga (j’avais fait pareil après le film LOR2, j’avais lu le troisième livre ) , et je me demande si les révélations vont encore continuées de manière aussi forte maintenant. Concernant l’anime, je te rejoins complètement sur l’utilisation 2d/3d pour le dynamisme et les rotations dans tous les sens, ainsi que sur le jeu des doubleurs qui font un excellent travail.
Pourvu que la saison 4 soit du même calibre au niveau technique.
J’ai découvert par hasard SNK sur France 4 suite à un zappage intempestif et là, je me suis fait happer et bouffer tout cru du premier coup !! Quelle claque !!! Je te rejoins en tous points concernant ta superbe analyse de cette œuvre qui ne laisse personne indifférent… Merci Ayorsaint!!!
Ps: SNK vs SNK… Excellente l’anecdote !!! Terry en perdrait sa casquette (encore une fois !!!)…
Psbis: les Blu-ray proposent des séquences légèrement retouchées où les protagonistes sont « mieux » dessinés… https://lenok993.tumblr.com/post/152286075571/attack-on-titan-tv-series-vs-blu-ray-comparison/amp
Pster: le film live vaut-il le détour ?
Psquater: les deux premières intros font partie de la liste de mes génériques d’animés préférés… Honte à moi, je n’ai pas encore vu la troisième saison mais je pense que Red Swan les y rejoindrait assez vite…
Pour SNK live, je te conseille le menu pop corn du chef 🙂
Très intéressant le comparatif TV vs Blu Ray.
Merci.
Rattrape vite le retard la saison 3 est la quintessence de SNK.
Pour l’anecdote, selon moi SNK restera à jamais le génial concepteur de la mythique NeoGeo et de ses jeux de baston mythiques. Vive Samouraï Shodown.
Samurai Shodown rules!!! 😉 Dans le registre jeux de baston des années 90, connais-tu l’animé « High Score Girl »?
Non. Il faut vite que je vois ça et celui sur les samouraïs que tu m’as conseillé. Je te fais une confiance absolue.
Mais en ce moment je suis très absorbé par Hunter x Hunter 2011 et la série des Fate.