On repart dans les souvenirs avec un jeu marquant pour tout lycéen qui a connu le lancement de la Super Nintendo en France. J’ai nommé Zelda 3. J’ai personnellement acquis la SNES à la sortie en juin 1992. L’été 1992 se passe donc à jouer au seul jeu livré avec la console : Super Mario World (alias Mario 4) et à un jeu de foot qui fait partie du maigre catalogue accompagnant la sortie française : Super Soccer. Une bonne partie de ce temps estival est aussi consacré à la hype pour la sortie de l’automne : le premier opus 16-bits de la saga Zelda.
Je dois avouer que je connaissais mal la franchise puisque ma console précédente (revendue avec ses jeux pour financer l’achat de la SNES) était une Sega Master System. Mais la plupart des magazines dont Player One, que je lisais assidument, ne tarissaient pas d’éloges concernant ce fameux jeu Zelda.
C’est armé des économies de l’été que je me rends le jour J à la Fnac du centre commercial le plus proche pour acheter la précieuse cartouche. Rentré à la maison, c’est le choc !
Les aventures de Link me scotchent comme rarement un jeu l’avait fait auparavant (on reparlera prochainement de Phantasy Star). Le format aventure et la qualité (tant graphique qu’ergonomique et narrative) me captivent.
La richesse de ce jeu et son accessibilité atteignent des niveaux que je n’avais jamais connu.
Nintendo fournit même avec le jeu une carte d’Hyrule sur laquelle je me suis abimé les yeux pendant des soirées entières.
C’est pour moi un jalon essentiel dans mon expérience vidéoludique que j’aurais plaisir à retrouver un jour. Pourquoi pas pour les 30 ans du jeu ?
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INCROYABLE Blaster les grands esprits se rencontrent. J’avais proposé à Nicko de participer à cette rubrique et c’est de ce jeu mémorable que je voulais parler en premier.
J’avais même commencé un texte… Merci pour ce moment de plaisir en tout cas. Je peux rajouter puisque j’avais prévu de l’inclure qu’avec ce jeu, la licence Zelda adopte pour la première fois la formule : un donjon/un objet pour en sortir et aussi l’alternance entre deux mondes ou deux réalités temporelles qui reviendra très souvent par la suite. On peut aussi noter comme anecdote sympathique que Link, dans cet opus, a les cheveux roses… on s’y fait.
Ah mince, il ne t’a pas dit que j’avais cet article sur le feu ?
C’est dommage. Je serais super content de lire une de tes contribution sur le sujet ou sur un autre jeu.
Aucun souci il existe des masses d’autres jeux mais sur l’ère 16bits c’est mon number 1.
Au plaisir d’en discuter avec toi.
Je suis certain que tu trouveras quelque chose de top ! 😉
Je ne savais pas qu’Ayorsaint avait prévu de faire Zelda 3 sur Super Nintendo. Il m’a juste suggéré une participation sans entrer dans les détails. Sinon je lui aurais dit 🙂
Le premier Zelda que j’ai fait et le seul qui m’ait plu. Je l’avais fait sur émulateur via l’ordinateur début 2000.
Je n’ai jamais accroché aux licences Nintendo et encore moins les Zelda qui m’ont toujours filé de l’urticaire.
A ce sujet, j’ai dû me forcer à finir BOTW sur la WiiU. Je l’avais pris et fait pour dire, c’est le dernier jeu que je fais sur cette console et après elle servira qu’en décor (j’avais pris la WiiU pour Xenoblade Chronicles, Chronices X et les 2 Bayonetta).
Je prends une console pour les jeux qu’il y a dessus et qui me plaisent, pas pour la marque comme les stupides fanboys.
Ce 3 fut une belle aventure et a été un des très rares jeux que j’ai fait et apprécié sur une console de Big N.
Je n’ai jamais compris la logique fanboy.
Je voudrais apporter une petite nuance vis-à-vis de la formule « stupides fanboys » afin que personne ne se sente attaqué ou blessé. L’idée, qui consiste à acheter une console uniquement pour la marque, peut être critiquable, comme toute chose, mais peut aussi être acceptée. Tout simplement parce que l’affect que l’on peut avoir concernant un thème découle d’un parcours personnel, d’émotions parfois non-rationnelles. Le cœur a ses raisons que la raison ignore. En ce sens, certains comportements qui peuvent être perçus comme illogiques pour certains, ne le sont pas pour d’autres.
On peut parfaitement être amoureux d’une « marque » vidéoludique (Sony, Nintendo etc…) au point de vouloir en acquérir systématiquement tous les produits, et ce sans autres critères déterminants. Je crois qu’il y a autant de manière de vivre le jeu vidéo, et par extension la collection, qu’il existe d’individus. Certains voudront uniquement des titres et consoles scellés. D’autres que du loose, des versions japonaises, du retro etc… Sachons être tolérants, surtout que nous sommes tous concernés de part nos parcours de « consommateurs » qui sont pluriels.
Loin de moi l’idée de te faire la leçon ma Furynette <3. Il faut simplement y voir une volonté de fédérer plutôt que de diviser.
Aucun souci il existe des masses d’autres jeux mais sur l’ère 16bits c’est mon number 1.
Merci pour cette review.
En 1992, avec les sous de mon 1er job d’été, je m’offre la SNES et ce magnifique Zelda : quelle claque ! On n’avait jamais vu ça à l’époque. Et les musiques étaient geniales. Ce fut, et de loin, mon jeu préféré pendant très très longtemps.
Avec les Street Fighter II et Super Metroid de la même époque (et beauvoup d’autres jeux en y réfléchissant) la SNES fut un achat bien rentabilisé !
Zelda me redonnera une immense claque sur N64 avec le cultissime Ocarina of Time 💓💓💓
Pardonne-moi Seb, j’étais passé à côté de ton message concernant l’acquisition de la Super Nintendo avec Zelda III. Ca m’évoque un souvenir lointain quasi identique. Ca devait être en 1999 me semble-t-il. J’ai travaillé pour l’enseigne Castorama en qualité d’inventoriste lorsque j’étais étudiant. Ce petit job d’été m’a permis de réunir la somme afin de m’offrir un jeu vidéo que je convoitais. C’était Rival School en édition japonaise sur la première Playstation. J’insiste bien, en version nippone. Le boite était splendide avec des artworks exceptionnels, que ce soit sur la jaquette ou dans la notice du jeu. J’avais payé, de mémoire, la somme rondelette de 500 Francs pour acquérir cette édition de Rival School. Je me revois parfaitement dans le magasin qui s’appelait « Vidéo Games Club St Loup » demander au vendeur l’accès au jeu qui était dans une vitrine fermée afin de l’acheter. De beaux souvenirs remémorés grâce à ton message Seb ! 😉
Nicko 👏👏👏
Gros souvenir que ce jeu pour moi également.
A l’époque de sa sortie, nous n’avions que la Méga Drive à la maison mais j’avais eu la chance d’aller en séjour chez mon correspondant anglais à cette période et lui avait la Super NES.
Je me souviens du temps qu’on a passé sur le jeu et de la surprise qu’avait été la découverte du Dark World quand la carte s’était retournée ! Surement mon meilleur séjour en Angleterre ! 🙂
De très loin un de mes deux Zelda préférés (avec celui de la Game Boy).