A première vue : Ron Howard, un réalisateur qui passe de sous terre à la lune.

C’est le visionnage du film 13 vies de Ron Howard qui m’a donné envie de vous parler de ce réalisateur. Pour les plus vieux d’entre nous, nous l’avons connus principalement pour son rôle de Richie Cunningham dans la série Happy Days. Pour ma part ce sera via des rediffusions la série datant de 1974 jusqu’à 1980.

 

 

Mais c’est plutôt sa carrière de réalisateur qui m’intéresse. En y jetant un coup d’œil, je me rend compte que j’apprécie une grande partie de ses films. Splash en 1984, avec Tom Hanks, Daryl Hannah, Eugene Levy le fameux papa d’ American Pie et le regretté John Candy. Enfant ce film m’avait vraiment marqué par son ambiance générale. Avec le recul on sent bien la jeunesse du réalisateur mais le potentiel est là. Mais ce n’est rien a coté du suivant, Cocoon en 1985. J’aime profondément ce film, il s’en dégage une ambiance incroyable. Le retour à la vie de cette bande de personnes âgées m’a toujours touché et je continue à vraiment apprécier ce film.

 

 

Et derrière les films s’enchainent, le cultissime Willow en 1988, Backdraft en 1991, un film sur les pompiers avec des séquences de feu complètement dingues. Horizon lointains en 1992 avec Tom Cruise et Nicole Kidman. Mais c’est en 1995 que pour moi il fera son meilleur film, le fantastique Apollo 13 avec Tom Hanks. Pour certains ce sera plutôt un Homme d’Exception sorti en 2001 et qui aura 4 oscars : meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur actrice dans un second rôle et meilleur scénario adapté.

 

 

En vrac on retrouve la série des Da Vinci Code, 3 films au total encore avec Tom Hanks, un films de la saga Star Wars avec Solo, pas sa plus grande réussite, le fameux 13 vies, cette histoire de jeunes footballeurs thaïlandais coincés dans une grotte et bien d’autres films. Et n’oublions pas The Grinch avec Jim Carrey.

 

 

Vous pouvez le voir, nous avons face à nous un réalisateur hétéroclite mais qui arrive toujours à apporter sa patte personnelle et il était temps de lui rendre un peu honneur à travers ce modeste article.

 

 

Olivier

3 comments

Lanace says:

Cool la rétrospective mais pour moi, il restera Richie Cunningham for ever malgré tous ses films.

Julortk says:

On rappelle que pour Solo, il est appelé au secours en plein tournage pour remplacer le duo de réalisateurs qui se font évincés du projet pour « différences artistiques ». C’est toujours casse-gueule et le résultat s’en ressent.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *