FulguroPix : Final Fight 2 – Super Nintendo (Capcom 1993)

 

Certains jeux vidéo nous ont marqué pour des raisons variables. Je pense que la qualité d’un titre n’est pas systématiquement l’élément le plus prépondérant. Je crois au contraire que le contexte est probablement un des facteurs les plus déterminants. Nous associons souvent un jeu vidéo à une géographie, une temporalité ou encore des personnes.

Final Fight 2 fait partie de ces titres qui m’ont fait apprécier le jeu coopératif tout comme le style beat them all. Je garde en tête un souvenir exceptionnel du premier Final Fight que j’ai découvert sur une borne d’arcade dans un petit bar de village qui s’appelait Erevan. Haggar a clairement éveillé en moi cette “passion” pour les gros gabarits dans l’univers vidéoludique.

Trêve de digressions, je vous propose donc aujourd’hui d’évoquer ensemble le jeu Final Fight 2 à travers sa déclinaison sur Super Nintendo. Pour rappel, le portage de l’arcade vers la console de salon c’est fait en Europe à la fin de l’année 1993.

 

 

Scénario et modes

Le pitch de Final Fight 2 s’inscrit dans une configuration qui ne nous est pas inconnue. Le gang Mad Gear (déjà présent dans le premier opus), constitué de loubars et autres brutes, revient semer la terreur dans la ville de Metro City. Les malfrats ont enlevé la sœur ainsi que le père de Maki. Cette dernière va contacter le maire de Metro City, Mike Haggar, afin de lui demander de l’aide. Maki sera donc épaulée par Haggar ainsi qu’un ami de ce dernier, Carlos, expert en maniement de sabre.

Ce scénario, sommaire, reprend un poncif en termes d’objectif déjà présent dans Double Dragon : le périple afin de sauver un être cher qui a été kidnappé. En l’occurrence vous en aurez deux à délivrer dans ce second opus de Final Fight.

Un mode coopératif est bien sur possible en incluant un second joueur. C’est d’ailleurs ce qui fait tout l’intérêt du titre Final Fight 2, par opposition au premier opus qui ne comportait qu’un mode solo dans son adaptation sur Super Nintendo. Je reviendrai sur ce point dans l’épilogue.

 

 

Gameplay et personnages jouables

Final Fight 2 propose donc un périple dans 6 pays différents qui s’achèvera au Japon afin d’affronter le leader du gang Mad Gear, Retu. Des boss seront bien évidemment présents tout au long de la progression. Premier point notable, on retrouve des personnages avec des sprites de grandes dimensions, Capcom oblige. La griffe du développeur, qualitative, est bien présente.

En termes de déplacements, Final Fight 2 propose un traditionnel scrolling horizontal avec des sauts. Cependant certaines zones permettront d’évoluer d’avantage dans la profondeur des champs. Les 3 personnages jouables auront des compétences différentes. L’agilité de Maki permettra des attaques centralisées essentiellement au niveau de ses jambes. Carlos sera le compromis entre puissance et rapidité, notamment avec son sabre. Enfin la puissance d’Haggar n’aura d’égal que sa relative lenteur.

Le schéma des coups est le même pour les 3 protagonistes : techniques de pieds ou de mains, coups sautés, projections et enfin attaques spéciales. C’est honnête mais la licence Streets of Rage offrira un peu plus de subtilités. La fluidité et les animations restent quand même très agréables avec un rendu agréable à l’écran.

 

 

Décors et interactions

L’aventure géographique initiée par le scénario de Final Fight 2 fera évoluer les personnages jouables dans différentes contrées internationales. Chaque pays se verra représenté à travers certains codes : la Chine populaire et ses quais portuaires, la France avec sa tour Eiffel, ses restaurants et l’aéroport Charles de Gaulle (mal orthographié dans le jeu), les Pays-Bas et ses moulins agricoles, l’Angleterre et son environnement ferroviaire (référence aux métros londoniens), l’Italie avec ses gondoles et son Vatican, le Japon avec ses jardins de bambous jalonnés de lanternes.

Dans chacun de ces stages vous trouverez aléatoirement différents items en explosant des caisses ou des tonneaux. D’abord les “foods” de régénération comme la fameuse pièce de viande ou encore des vies supplémentaires. Vous pourrez également saisir certaines armes de poing comme un tonfa, un couteau ou un tasseau de bois.

Deux niveaux bonus sont également présents dans lesquels vous pourrez détruire une voiture ou encore des bidons. Ces excursions annexes sont bien connues des amateurs de Street Fighter II. Justement, parlons-en.

 

 

De Street Fighter II  à  Final Fight 2

Les références à l’univers de Street Fighter II sont très nombreuses dans ce second volet de Final Fight. Capcom a subtilement introduit de petits éléments qui nous sont très familiers. Au-delà des stages bonus évoqués précédemment, on relèvera la présence de Chun-Li dans le décor du premier niveau en Chine. Elle mange dans un petit restaurant d’extérieur.

Guile est visible, toujours en second plan, dans l’environnement militaire mettant en scène le boss français, Freddie. Deux hommes de main du gang Mad Gear reprennent quasiment les mêmes sprites que ceux de Zangief, avec de légères différences, notamment sur le plan capillaire et/ou vestimentaire.

Les mines incendiaires disséminées sur le sol dans le stage des Pays-Bas provoquent la même animation que celle de Dhalsim lorsqu’il vous brûle. Idem pour les électrocutions évoquant l’attaque spéciale de Blanka et générées par un ennemi récurrent tenant des électrodes dans ses mains.

La mappemonde présente au début de chaque stage avec les drapeaux des pays reprend presque le même design que celle de Street Fighter II, tout comme les barres de vie ou encore le timer. Toutes ces petites incursions sont à percevoir comme une glorification de l’univers Capcom et non pas comme un banal recyclage.

 

 

Boss et personnages antagonistes

Quelques mots concernant les ennemis que vous rencontrerez lors de vos affrontements dans Final Fight 2. D’abord la thématique street punk est omniprésente. Les différents loubards que vous croiserez pourront arborer des crêtes, des crânes rasés ou encore des tenues aux styles grunge et rock. Il se dégage également une dimension très post-apocalyptique de ces assaillants.

Détail intéressant, les profils physiques des opposants seront hétérogènes. Des petites mains jusqu’aux malabars bodybuildés, les sbires de Retu ne manqueront pas de relief. Certains vous attaqueront à mains nues, d’autres avec des matraques, des couteaux, des cocktails molotov ou encore des électrodes comme mentionné précédemment. Sur le plan nominatif, les noms des malfrats seront courts et impactant : Atlas, Robert, Mark, Mic, Eliot etc…

Côté boss, l’originalité sera également de rigueur avec une majorité de colosses dont les particularités physiques suggèrent parfois la géographie du stage concerné. On notera des profils atypiques comme Philippe le clown ou encore Bratken évoquant la créature du docteur Victor Frankenstein. Rolento, dont la consonnance nominative latine évoque la localité italienne, était déjà présent dans le premier opus de Final Fight.

 

 

Thématiques et références

Vous êtes prévenus, il me sera impossible de tout référencer tellement le jeu Final Fight 2 regorge d’éléments suggérant des ponts culturels. Parmi ceux qui me semblent les plus pertients, on relevera les codes couleurs de Carlos et Maki, à savoir le bleu, le rouge, le brun et le blond. Oui, vous pensez à la jaquette de Double Dragon bien entendu.

Toujours en référence au titre de Technos/Taito, il faut mettre en perspective le célèbre Andore de Final Fight 2 avec Abobo de Double Dragon. Ces gros bras récurrents changent de couleurs en fonction de leur résistance. Selon la légende, le design d’Andore est directement inspiré du catcheur français André le Géant.

Enfin une énième symétrie avec Street Fighter II : il faut mettre en correspondance un visuel extrait dans les séquences de fin de Ryu avec un second prélevé cette fois dans le ending de Final Fight 2. L’esthétique tout comme les postures sont très proches.

D’ailleurs cette filiation de Street Fighter II vers Final Fight 2 s’inversera par la suite. Certains personnages provenant de la licence Final Fight comme Rolento, Cody, Guy ou encore Andore rebaptisé Hugo, seront transposés dans l’univers de Street Fighter comme combattants jouables.

Les ponts culturels sont vraiment innombrables. Je vous laisse le soin d’en établir d’autres en puisant dans vos références personnelles.

 

 

Epilogue

Lorsque j’ai évoqué le titre Double Dragon sur Sega Master System dans le magazine, j’ai utilisé le terme “précurseur”. Ca n’a jamais été aussi vrai lorsqu’on se replonge dans Final Fight 2. L’atmosphère, le gameplay et le scénario sont littéralement imprégnés du jeu développé par Technos.

La patte graphique de Capcom est également bien présente. Qualitative et esthétique, elle fait office de référence depuis plusieurs décennies. J’émettrais cependant quelques griefs. Les musiques de Final Fight 2 sont parfois répétitives, tout comme le gameplay si l’on joue en solo. D’où l’intérêt du mode coopératif qui fait tout le charme du jeu. Par ailleurs la difficulté pourra être augmentée dans les options afin d’apporter du challenge.

A titre personnel, j’ai découvert Final Fight 2 sur Super Nintendo avec l’édition japonaise du titre. J’avais le fameux adaptateur que nous connaissons tous. C’est pourquoi j’ai choisi comme visuel d’accroche concernant cette production l’artwork du packaging nippon ( également présent sur la boite espagnole). Je le trouve bien plus réussi que celui de la version Pal FR.

J’espère que vous avez pris plaisir à redécouvrir ce second opus de Final Fight. Je vous donne rendez-vous très bientôt afin de partager ensemble d’autres moments vidéoludiques. Merci à tous pour vos lectures. Cette production est spécialement dédiée à Ayorsaint.

24 comments

Benjamin says:

Je ne savais même pas qu’il existait ce jeu. 😛

Perso, j’avais la version Sega Mega CD qui était magnifique.
J’en garde de très bons souvenirs 🙂

Lupo says:

Y a eu un 3 aussi d’ailleurs 😉
La série Final Fight c’est un peu comme des séries de film type Universal Soldier, ou Kick Boxer, le premier épisode cartonne au ciné, et ensuite on nous balance des pseudos suite en direct2vidéo sans passer par la case sortie cinéma.
Final Fight, ou comme Golden Axe (y en a eu 3 sur Mega Drive) aussi par exemple, c’est pareil, les premiers épisodes se sont surtout fait connaitre sur arcade, mais ont ensuite été décliné sur consoles de salons mais sans sortie arcade.

Nicko says:

C’est aussi un des objectifs concernant les différentes rubriques dans FulguroPop : la découverte ! 😉

Lupo says:

Thanks pour la review, faudra que je me le refasse à l’occasion. C’est pas mon épisode préféré, je lui préfère le 1 et le 3, mais ça reste un très bon beat’em up.

Nicko says:

Je t’en prie avec plaisir Lupo ! 😉

Je n’ai joué au 1 que sur une borne d’arcade et il y a tellement longtemps. Mais le souvenir est intacte. Concernant Final Fight 3, je n’y ai jamais joué. Une occasion de le découvrir. Comme mentionné dans l’article, le second opus m’a accompagné sur Super Nintendo, il m’est donc très familier et je l’ai beaucoup apprécié en mode coopératif. De beaux souvenirs encore une fois.

Lupo says:

Si t’y as jamais joué, faut vraiment que tu le fasses. Quand FF2 se contente de prendre exactement la même recette que FF1, FF3 va pousser le gameplay un peu plus loin, et ça restera d’ailleurs l’épisode avec le gameplay le plus abouti : Plusieurs variantes de projections, dash, coups spéciaux et super coups spéciaux… Et en plus, il y a 4 persos au lieu de 3, c’est le grand retour de Guy mon perso préféré (en plus de Haggar pour les anciens). Alors j’aime moins les deux nouveaux persos que je trouve moins bien animé, sinon Lucia, un de ces deux personnages fait partie des persos ajoutés dans la dernière saison de Street Fighter 5.

Nicko says:

Merci beaucoup Lupo pour tes précisions ! 🙂

Malgré le confinement j’ai beaucoup à faire chaque jour mais je vais essayer de dégager du temps pour suivre tes recommandations. A titre personnel, Haggar reste et restera mon personnage préféré de la licence Final Fight.

Je garde surtout le souvenir du 1er. La version Mega Drive permettait de jouer à 2 contrairement à la Super Nes qui n’était que solo.
N’oublions pas également la meilleure version (portage) de cette génération qui est le premier sur Mega-CD.
Le 2 il faudrait que je le lance à l’occasion, j’ai toujours fait que le 1.

ayorsaint says:

D’abord un grand merci pour la dédicace. L’amour pour Capcom nous rassemble encore une fois après SF2 et en attendant d’autres titres peut être ? (Megaman?)
Figure toi que j’ai joué au premier Final Fight mais que je n’ai jamais mis les mains sur le 2… que je connaissais quand même. Mais du coup j’ai appris pas mal de trucs dans ton article donc c’est cool.
Mon perso de coeur dans cette saga c’est Cody que j’ai adoré retrouver ensuite dans Street Fighter 4 ou les Alpha avant lui.
Bon, concernant les Beat them all, je me répète mais Streets of Rage 2 reste malgré tout le maître en la matière. Le 4 sort en fin de semaine, j’espère ne pas être déçu !!!

Nicko says:

Je t’en prie Ayorsaint, j’avais compris ton affection pour Capcom d’où ma démarche 😉

J’ai joué à Megaman sur NES dans ma prime jeunesse, chez un ami. L’opus qui ma réellement traumatisé c’est le X sur Super Nintendo. Trouvé au hasard dans un bac de supermarché, bradé au prix de 99 Francs, probablement autour de 1995 – 96, j’en garde des souvenirs impérissables. J’en parlerai très certainement dans FulguroPop.

Je t’invite à essayer Final Fight 2 si tu en as l’occasion. A deux joueurs, c’est très sympa. L’atmosphère est vraiment imprégnée de la griffe Capcom. Le 3 est à découvrir également suivant la recommandation de Lupo. Par ailleurs j’ai joué à Street Fighter Alpha 3 sur Playstation 1. J’avais été époustouflé par l’esthétique manga/animé des personnages et leurs attaques spéciales sublimement animées à l’écran. Mais les versions récentes me sont inconnues.

Streets of Rage est effectivement une superbe licence. J’avais eu l’occasion de la découvrir sur Mega Drive et Game Gear. J’en parlerai peut être aussi dans le magazine si le temps me le permet.

Lupo says:

L’anecdote pas trop utile, mais comme tu parles de Street Fighter Alpha 3, Maki personnage jouable dans ce Final Fight 2 est également jouable uniquement dans les versions portables de SFA3 , c’est à dire sur Gameboy Advance et PSP.

Nicko says:

Merci pour cette précision Lupo ! 😀

Il n’y a pas d’informations ou d’anecdotes inutiles dès lors que celles-ci génèrent de l’interaction autour des thèmes qui nous rassemblent. Nous faisons vivre FulguroPop à travers des actions communes. Les rédacteurs tout comme les lecteurs. C’est capital.

ayorsaint says:

Megaman X est dans mon top 5 Super Nes ni plus ni moins et je l’ai refait récemment. Il a très très bien vieilli que ce soit l’esthétique ou le gameplay.
Alpha 3 est effectivement un chef d’oeuvre de direction artistique.
Décidément je n’ai pas fini de me régaler avec ta rubrique…

Nicko says:

Ah ah effectivement nous avons pas mal de références communes ! Bon, ce sont aussi des titres très populaires dont le succès a une dimension très importante. Mon domaine de prédilection Ayorsaint, en toute modestie, reste le jouet des années 80. J’écris sur le thème des jeux vidéo car je souhaite que le magazine se diversifie d’avantage, selon l’idée de départ lors de sa création. Mais je n’ai que très peu de compétences dans le domaine vidéoludique. Ceci dit, j’ai tout à apprendre et à découvrir aussi concernant le jouet vintage. La recherche, l’analyse et la compréhension sont au cœur de mes modestes travaux.

Par ailleurs, je ne désespère pas qu’un rédacteur, passionné de jeux vidéo, nous rejoigne pour faire vivre la rubrique FulguroPix quotidiennement. Je n’aurais pas forcément le temps de tout faire et je ne veux surtout pas négliger les rubriques évoquant les jouets vintages. Mais je peux aussi compter sur Julien qui apporte son intéressante contribution à propos des jeux vidéo. Dans tous les cas c’est un plaisir d’échanger avec toi et les lecteurs, peu importe les thèmes 😀

ayorsaint says:

Je ne sais pas si j’ai les qualités pour mais je pourrais peut être faire quelques textes pour cette rubrique ou même des review SH Figuarts Dragon Ball dans lesquelles je pourrais incorporer quelques anecdotes sur le manga ou la série…

Lupo says:

La rubrique Libre Antenne est faite pour ça 😉 N’hésites pas 🙂

Nicko says:

Je suis certain que tu ferais un travail très intéressant. Il faut parfois se lancer sans trop se poser de questions. En tous cas, si tu souhaites intervenir dans le magazine, ce sera avec plaisir ! 😉

ayorsaint says:

Concrètement je fais mon texte et les photos et je contacte qui et comment ?

Nicko says:

Alors tu prépares effectivement ta production à l’avance, sur un document PDF. Les photos sont à joindre à part en JPEG et avec une résolution d’au moins 600X600 (max 1200X1200). Puis tu peux tout nous envoyer via le formulaire de contact du site ou bien utiliser l’adresse de Back To The Past si ça t’est plus pratique (fulguropop.backtothepast@gmail.com).

Nous nous occuperons de faire le montage des visuels avec les textes. Tu seras prévenu par avance de la publication. Lance toi ! 😉

jp says:

Oui, ça sera un plaisir de te lire. Mais vu ton pseudo, je m’attendais plus à voir du Saint Seiya.

jp says:

Toujours intéressant de découvrir des titres que je ne connaissais que de nom (à part le 1er que je connaissais comme beaucoup de l’arcade), et les anecdotes étaient intéressantes, de même que celles présentes dans les commentaires. En voyant le perso “sud-américains” avec son béret et son bâton, avant de lire la suite je me suis dit “mince mais c’est un perso jouable de jeu de baston que je prenais en faisant tourner le bâton comme une majorette (ou donatello ça fait plus macho)”. Ensuite j’ai lu la suite et j’ai été surpris par le nombre de persos recyclés de Street Alpha, et c’est en écrivant que j’ai compris la référence à André le Géant. Je revois ce perso de Final Fight dans un Street Fighter avec un juste corps rose et des cheveux longs qui me faisait penser à un méchant de Ken le survivant. Les perso bodybuildés m’ont toujours fait penser au manga, vu leur têtes et leurs coiffures punk/grunge.

Nicko says:

Merci jp pour ton message et ta lecture 😀

Alors la thématique post-apocalyptique que tu soulignes concernant les méchants dans Final Fight 2 est en fait la filiation directe de Double Dragon. Si tu as lu mon papier publié il y a deux semaines concernant ce jeu, j’y mentionnais le scénario japonais original. Celui-ci campait un monde ravagé par une guerre nucléaire.

Ensuite le personnage avec son béret et son bâton que tu évoques est Rolento. Il y a un protagoniste dans l’œuvre Ken le Survivant qui lui ressemble beaucoup : le Colonel. Je t’invite à regarder sur Google, la symétrie est vraiment troublante.

ayorsaint says:

Ho oui je pourrais faire du Saint Seiya vintage à l’occasion.
Allez j’essaye de me lancer ce week end.

Nicko says:

Génial ! Hâte de te lire, merci d’avance pour ta contribution 😉

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