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Dans Ciné-TV

Le Nom de la Rose : le match John Turturro Vs Sean Connery

12 mars 2019 Blaster

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Depuis le début du mois de mars, OCS diffuse une série co-produite par la télévision italienne adaptant le roman qui a fait une star d’un professeur de sémiologie de l’université de Bologne, le regretté Umberto Eco. Le Nom de la Rose n’en est pas à sa première transposition à l’écran et face à l’Opus Major de Jean-Jacques Annaud, on découvre une mini-série qui joue la carte de la rupture.

La série a été co-produite et co-scénarisée par John Turturro. L’acteur y tient le rôle principal, celui de Guillaume de Baskerville, frère franciscain chargé en 1327 d’une mission théologico-diplomatique dans une abbaye d’Italie du nord et qui doit élucider des meurtres mystérieux dans ce monde clos.

 

Un casting de rêve

Outre John Turturro, la série aligne James Cosmo, Tchéky Kario, Rupert Everett ou encore Richard Sammel (OSS117  et The Strain de Guillermo Del Toro)…

Turturro campe un Guillaume assez troublant. Physiquement, il doit probablement plus s’approcher de la vision initiale d’Eco. Il a du mal cependant à marcher dans les pas de Sean Connery.

Question de physique, mais pas seulement… Le scénario tente d’aider son interprétation en distinguant son Guillaume de celui du film. Ses répliques, moins fulgurantes empruntent parfois plus au roman. Les fulgurances déductives du personnage tombent parfois à plat, y compris au tout début du récit dans la scène du cheval échappé.

Turturro de Baskerville

Moines : variété Vs qualité ?

L’abbé joué par Michael Emerson (The Practice, Lost) peine à convaincre. Geignard, on doute de son autorité dès ses premières répliques. Son idolâtrie mal assumée rend son personnage assez peu intéressant et à mille lieues de l’Abbon de Michael Lonsdale.

Annaud avait choisi des gueules inoubliables pour jouer ces moines bénédictins. Bérenger, adipeux et  au regard fuyant, ne dit pas trois mots dans le film. Dans la série, il est plus banal, mais il dispose de lignes de dialogue très proches du roman d’Eco.

Malachie, le sombre bibliothécaire, trouve un charisme inattendu et probablement superflu dans l’incarnation de Richard Sammel.

Alinardo et Aymaro incarnent le camp italien dans cette abbaye envahie de chercheurs venus des confins de l’empire comme Malachie et Bérenger. Bence le scandinave y trouve enfin sa place et apporte au récit des aspects éludés dans le film d’Annaud. A contrario, le choix d’un acteur aussi physique que James Cosmo (Lord Mormont dans Game of Thrones) pour incarner le frêle Jorge ne convainc pas réellement. Sa présence physique inquiète au final plus que sa véhémence prédicatrice.

Un huis plus tout à fait clos

En choisissant d’ouvrir son histoire par des flashbacks ou par l’introduction de personnages nouveaux (le Jean XXII incarné par Tchéky Kario, par exemple), la série rompt le huis-clos imposé par le cadre abbatial du roman. Dans le même esprit, l’introduction d’Adso et sa rencontre avec Guillaume emprunte un peu au roman et brode beaucoup sans qu’il soit possible d’établir l’intérêt narratif de la dite broderie. La présence de la jeune fille tout au long de l’histoire, le trouble qui saisit Adso dès le premier épisode, tout autant que l’aventure dolcinienne de Rémigio pénalisent l’immersion. L’ajout de personnages “parasites” comme Anna la fille de Dolcino et de Marguerite n’arrange rien à l’affaire.

L’abbaye pourtant semble un aspect essentiel ; qu’il s’agisse du décor (les bâtiments) comme du contexte (la communauté d’hommes de lettres isolés par les murs et par l’observation de la règle de Saint Benoît.

La reconstitution pèche de ce premier point de vue dans la série. L’Edifice, personnage à part entière du roman, n’en suit pas du tout la description. Si la forme générale semble respectée, la disposition des lieux et l’aspect extérieurs diffèrent bien trop de la source originale. Au contraire d’Annaud, le décor de la série semble miser sur un pseudo-réalisme (le moulin de la buanderie) au détriment de la conformité du roman et de l’ambiance.

Le labyrinthe au coeur du mystère

Annaud avait fait le choix de représenter le labyrinthe d’une manière convaincante à l’image.

Il avait fait donc préféré à la représentation plane et logique du roman, une vision étourdissante empruntant aux Carceri de Piranese.

La série de Turturro renoue avec la complexité du labyrinthe en ré-introduisant paradoxalement la part de logique qui permettra à Guillaume d’en percer le mystère. Dans la série, Adso et Guillaume pénètrent relativement tôt dans la bibliothèque (à la fin du 2ème épisode sur 8) alors qu’il faut attendre plus de la moitié du film pour qu’ils y arrivent. L’aide d’Alinardo (pas assez sénile soit dit en passant) est censée jouer à plein. On regrette toutefois qu’il donne aussi facilement la solution alors que dans le roman Guillaume ne lui demande que la confirmation du passage secret. Le passage par l’ossuaire est également simplifié par une simple porte dérobée dans la crypte (même si le mécanisme est similaire dans les trois versions de l’histoire). Notons que la représentation de l’ossuaire dans la série est très sommaire et s’apparente plus à une série de tombes sans sarcophages alors que le roman comme le film montrent un véritable ossuaire dans sa fonction de collecte des os exhumés.

Pourtant, la disposition des lieux, la succession des pièces autant que le nombre de tours au coins de l’Edifice éloignent le décor de la série du labyrinthe d’Umberto Eco. On admire toutefois les détails réalistes comme les minces plaques d’albâtre aux fenêtres, mais leur position basse à hauteur d’homme met à mal toute une partie du raisonnement sur la mort d’Adelme.

Toujours eu égard aux fenêtres, le scriptorium semble bien sombre et on regrette les grandes verrières du roman tant bien que mal traduites à l’écran dans le film. Ce souci du réalisme pour le coup fonctionne mieux avec Annaud car la série projette plus un fantasme médiéval qu’une interprétation des lieux décrits par Umberto Eco.

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